1894 - Diocèse de Quimper et du Léon

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* £°" *£ ,e Ow*!-»! t«»gém«---f qui doit y assister, en a
reçu lavis officiel el partira pour Rome, lundi prochaines 6ci-«"
* L œuvre commencée, â Jérusalem, l'année dernière, se poursuit,
el les prières des fidèles accompagneront le Pasteur fens ces
travaux qui peuvenl produire, pour l'avenir de l'Eglise en Orienl
de si heureuses conséquences, J» '
Les journaux nous apprennent, an dernier moment, nue
Mgr Azarian, patriarche arménien, ne viendra pas à Rome riour
le moment ; mais il a envoyé un exposé de ses idées sur l'union -
Le rapport est suffisant pour que la conférence ait lieu, à rénn-niR p l
annoncée. '
ORLÉANS. - Cause de Jeanne d'Arc. - Nous avons dtii
annonce que Mgr tuucau.lt, éveque de 8titti-0ié wetrt, en venu des
pouvoirs qui lut ont été confiés par le Saint-Siège, de constituer le
tribunal chargé d'instruire, au nom du Souverain Pontife le procès
de non ctdtu, dans ta cause de béatification de Jeanne d'Arc
I ne enquête analogue doit étre faite simultanément à Orléans
la cause de Jeanne d'Arc appartenant à ces deux diocèses
Les leures adressées à ce sujet à Mgr Coullié, archevèque de
Lyon, qui administrait son ancien diocèse d'Orléans, ont è\à transmises
à son successeur, .Mgr Touchet, qui a aussitôt pris en main
la cause qui lui est confiée.
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LOURDES. — Le dimanche, 7 octobre dernier, fête du Très
ba i M Rosaire, a eu lieu à Lourdes ta bénédiction de la la mue
offerte par les catholiques de France el de l'étranger, en actions
de grâces pour le jubilé de Léon XIII.
La cérémonie élait présidée par Son Em. le Cardinal Persico,
IKï L de . la n S ? Crée Congrégation des Indulgences, assisté de
NN. SS. les Evéques de Tarbes el de Monaco : 10.000 pèlerins
ela i en t présenls.
l
NANTES.-- Le samedi, 22 Septembre, deux Peliles-Sœurs des
pauvres cfe Chantenay, montées sur un vieux char-à-bancs, dans
lequel elles venaient d'entasser des chiffons, cheminaient lentement,
a travers les rues de la ville.
Son Eminence, Ie cardinal Richard, vint à passer auprès
Elles le reconnurent el. s'arrôlant aussitôt, s'empressèrent de
lut demander sa bénédiciion. Bien plus, elles osèrent réclamer
I honneur de sa visite, pour leurs pauvres vieillards. Pour qui connait
bon Eminence, cette demande ne pouvait manquer d'étre
agréée. Mgr Richard n'a-t-il pas toujours été regardé comme l'ami,
comme le père des pauvres r
Le lundi 24, en effet, sur les 4 heures 1/2 du soir, Monseigneur
le Cardinal arrivait k la Communauté.
Son Eminence se fit d'abord con luire à la chapelle, pour y
rendre ses hommages à Noire-Seigneur au Sain i-Sacrement, et
Archives diocésaines de mper et Léon
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Elle fut ensuite introduite dans la salle des hommes Là anrA,
avoir exprimé, dans des paroles m^nittâW^^riS
diablé, combien il aimait ia congrégation des Pei i« 2» !I *?
pauvres le bonheur qu'il eproul.it 1 ^
Pans el méme à Rome, quand il se rendait ann£« L £? ' -
Pontife, Monseigneur iVrchevé^ Souverain
avoir bénis- it |£ dis.ribueStoÏÏ TSPSSlSP^
dit-il, une image de saint Joseph. Saint Joseph est le miron Si
vieux ; vous l'aimez beaucoup ici et moi aiiTsl ilIw.Ji \ ? i
crois méme qu'à mesure que e ^ >*
..... Parcourant alors les rangs des hommes le vénérahV nr^
y avait un peut mot, rappelant un souvenir.
Cependant tous les vieillards n'étaient pas là il v en a nne ta
cierœs^ sf-Sisj* Tous ref ureni ,a ^
inn^niiT f'ftJ? • r0U - /ail Un pauvre mor ''>o'i-, depuis déjà un
jour entier, al agonie. Ses yeux élaient fermés et UX ' aU -ï' d d J? lil d ' url P-uvre malheureux,
(Semaine religieuse de Nantes.)
din^ 6 ! 8 ,-:?" 111 ? 1,8 •f fr - cail - s - - Une grande œuvre du cardinal
Lavigerie vient de renaître. Les Frères armés du Sahara out
reparu sous le nom de Pionniers africains. Leur vaillant aumônieï,
wn.Lîïïf' le . ur •-«""* «e» s'-'-l- quelque peu différents de
sM^raS.**" armés ; mais le bul et "^ de '•
rnnîl'iT 6 l es Frères a-més, les Pionniers africains veulent lutter
déclaré lf S H aVag< r' -°' dé !° l6 l ' M ^ UB el 4 ui ' d *P- ls «P-'» **
sunnr. -ci i H ° ? f ? 11 - que s - c - ,oî " e ; -Mis ils veulent arriver à la
suppression de la traue, sans recourir aux armes
cHi,i!,n..; ,0Iin,e ' s - ( , rieaiDS ne ^roni P-- des guerriers, mais des
nr,Z «>.''i' f Se i (0rU c . e P e - uaul P° ur ^ faire respecter. Ils se
de Khf« vm er ' m t f ' le ^ p: '- vs sa - va » e ' des P° s,es •.-' -eront
aLlil e - n * m for, "-£ en rBêin - lem P s 9-e des colonies
«n t ' °V ls r f c - ïronl les m-tigênes qui voudront se placer
wus leur garde et leur direction. Inutile d'ajouter que leur prin-