Goethe, Johann Wolfgang von (1749-1832). Faust ... - Musicontempo

SECOND FAUST.
M'afrappéde ses béquilles
J'ai bronchéà travers
laportede latombe
Pourquoiaussila porteétait-elle justement
ouverteP
FAOST sortant du palais
en tâtonnant aux pilier» de la porte.
2**
Commele cliquetis despelles me réjouit, c'ffj Ja fojjje
qui me flatte, qui réconcilie la terre avec elle-même, «pi
met des bornes aux vagues et qui entoure la mer fj?une
sorte de chaîne.
MjÊPHISTOPHÉLÈS, à pan.
Tu ne travailles que pour nous avec tes digue»f| tes
bords car tu apprêtes par là un grand repas au démon de
la mer, à Neptune.Tu es perdu dans tous les gat? -Jtmélé^
mensont pactisé avec, nous» et le tout n'aboutit qu'à la
d^stri|c|ion. ,-;
fiardjenj 1
Me
voici.
~11~~T.
JIJÎPHISTOPHÉLÈS.
FAUST,
Travailleur, travaille de ton mieux. Encourage-les par
la jouissanceet la sévérité;paie, leurre; pousse-les. Je veux
chaque jour avoir des nouvelles du fossé et des progrès
qu'il fait par la longueur.
MÉPHISTOPHÉLÈS, à demi-voix.
On parle, à ce que j'ai appris non d'un fossé, mais
d'une fosse.
FAUST.
Un marais se traîne le long desmontagnes et infecte tout
ce que nous avons acquis jusque présent. Dessécher ce
marais méphitique ce serait le couronnement de nos travaux.J'offrirais
de vastes plaines à des millions d'hommes
pour qu'ils y vivent librement sinon lûrement. Voici des