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La conservation de la nature en Afrique centrale entre théorie et ...

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groupem<strong>en</strong>t <strong>et</strong> <strong>de</strong> faire le rapprochem<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tre ce groupem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> relevés <strong>et</strong> les formations<strong>nature</strong>lles observées sur le terrain.Pseudo espèces différ<strong>en</strong>tielles :En théorie, si elles sont exclusives, les pseudo-espèces différ<strong>en</strong>tielles indiqu<strong>en</strong>t une affinité dugroupem<strong>en</strong>t à certaines conditions écologiques. <strong>La</strong> valeur indicatrice <strong>de</strong> ces espèces a étévérifiée sur consultation <strong>de</strong>s flores <strong>de</strong> Geerling (1982), <strong>et</strong> d’Arbonnier (2000) qui donn<strong>en</strong>t <strong>de</strong>sindications sur l’amplitu<strong>de</strong> écologique <strong>de</strong>s espèces.Notre interprétation a <strong>en</strong>suite été comparée aux résultats d’une étu<strong>de</strong> simi<strong>la</strong>ire réalisée sur <strong>la</strong>végétation ligneuse d’un terroir vil<strong>la</strong>geois <strong>de</strong> <strong>la</strong> région (Van Couw<strong>en</strong>berghe, 2004).Validation <strong>de</strong>s groupem<strong>en</strong>ts floristiques Twinspan par Cluster analysis (logicielMVSP)Dans le but <strong>de</strong> vali<strong>de</strong>r les groupem<strong>en</strong>ts floristiques issus du logiciel Twinspan, un autre typed’analyse (cluster analysis), effectuée au moy<strong>en</strong> du logiciel MVSP, a été effectuée.tel-00508990, version 1 - 9 Aug 2010Phase 3.B: Traitem<strong>en</strong>t <strong>de</strong>s données multi-thématiques qualitativesPour capitaliser les relevés qualitatifs multi thématiques <strong>et</strong> les traiter, une base <strong>de</strong> donnéesAccess (« LUCI ») a été construite.Des requêtes simples ont permis d’extraire les données géoréfér<strong>en</strong>cées par unitécartographique <strong>et</strong> <strong>de</strong> les exporter vers le SIG.Dans <strong>la</strong> base LUCI, <strong>de</strong>s formu<strong>la</strong>ires conviviaux perm<strong>et</strong>t<strong>en</strong>t un r<strong>et</strong>our rapi<strong>de</strong> sur un relevé, <strong>et</strong>un li<strong>en</strong> direct perm<strong>et</strong> <strong>de</strong> visualiser le site du relevé lorsque <strong>de</strong>s photographies y ont été prises.<strong>La</strong> base <strong>de</strong> données LUCI est accessible sur le DVD-Rom associé aux produits finaux <strong>de</strong>l’étu<strong>de</strong>. Des requêtes prédéfinies perm<strong>et</strong>t<strong>en</strong>t à l’utilisateur d’accé<strong>de</strong>r aux thèmes spécifiquesqu’il souhaite visualiser ou traiter. Il est recommandé <strong>de</strong> copier <strong>la</strong> base sur un disque dur pourexploiter <strong>la</strong> totalité <strong>de</strong> ses fonctions.Phase 3.C: Interprétation <strong>de</strong>s zones brûlées sur les images Spot 5En phase <strong>de</strong> préparation, il s’est avéré qu’une fraction importante <strong>de</strong> <strong>la</strong> superficie <strong>de</strong>s scènesSpot acquises le 28 novembre 2004 étai<strong>en</strong>t traversées par les feux <strong>de</strong> brousse annuels. Dansles zones brûlées, les valeurs <strong>de</strong> réflectance <strong>de</strong> <strong>la</strong> végétation sont brouillées <strong>et</strong> il est impossibled’y discriminer les groupem<strong>en</strong>ts végétaux par une analyse radiométrique c<strong>la</strong>ssique.Pour contourner ce problème, nous nous sommes <strong>de</strong>mandés si une re<strong>la</strong>tion pouvait être établie<strong>en</strong>tre certains types <strong>de</strong> sols <strong>et</strong> <strong>la</strong> composition <strong>de</strong> nos relevés <strong>de</strong> végétation. Dans l’affirmative,il est possible dans ces zones brûlées <strong>de</strong> spatialiser <strong>de</strong>s groupem<strong>en</strong>ts floristiques sur base <strong>de</strong> <strong>la</strong>carte <strong>de</strong>s sols.Etu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s affinités <strong>en</strong>tre espèces ligneuses <strong>et</strong> types <strong>de</strong> solsC<strong>et</strong>te étu<strong>de</strong> a été réalisée à l’ai<strong>de</strong> du logiciel SAS, couramm<strong>en</strong>t utilisé pour traiter les donnéesécologiques.En préa<strong>la</strong>ble à l’analyse, une matrice brute <strong>de</strong> données a été réalisée <strong>en</strong> croisant <strong>de</strong>ux couchesthématiques sous Arcview : <strong>la</strong> couche <strong>de</strong>s coordonnées <strong>de</strong>s relevés <strong>de</strong> végétation <strong>et</strong> <strong>la</strong> couche<strong>de</strong>s sols. Le produit consiste <strong>en</strong> une simple matrice <strong>en</strong> <strong>de</strong>ux colonnes : relevés <strong>et</strong> type <strong>de</strong> solsassociés.Connaissant les espèces ligneuses observées dans chaque relevé, nous avons transformé c<strong>et</strong>tematrice simple sous Excel pour produire une matrice plus détaillée, prés<strong>en</strong>tant :<strong>en</strong> ligne les espèces ligneuses issues <strong>de</strong>s relevés quantitatifs <strong>de</strong> végétation ;- 434 -

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