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une force physique dégagée par l'organisme du mourant sous une forme
vibratoire. Il ne reste donc, pour expliquer les faits, qu'à avoir recours à
l'hypothèse de la présence spirituelle du décédé ; et en ces conditions, le
phénomène télépathique lui-même devrait être attribué à la même cause.
Ces conclusions montrent la valeur théorique (les phénomènes
télékinésiques qui, appartenant à l'ordre « physique », se prêtent à faire
ressortir le mal
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fondé de l'hypothèse « vibratoire » bien plus nettement que ne le
feraient les phénomènes télépathiques, dont les prétendues « vibrations »
seraient d'ordre « psychique ». Il s'ensuit que, si l'on est amené à avoir
recours à l'hypothèse spirite pour se rendre compte des phénomènes
télékinésiques et que, si les phénomènes télépathiques se réalisent parfois
simultanément aux premiers, on sera entraîné à en déduire qu'une partie
considérable des manifestations télépathiques doive être expliquée par la
même hypothèse. On devrait ainsi circonscrire en des limites plus
modestes l'autre explication en vogue, selon laquelle toutes les
manifestations englobées aujourd'hui sous le nom général de
« télépathie » se réduiraient à un phénomène de transmission de la pensée
entre un cerveau et l'autre.
XVIIe CAS. - On le rencontre dans l'ouvrage de C. Flammarion :
Autour de la Mort (page 351). Le Dr WEIL, rabbin à Strasbourg,
communique l'épisode suivant :
Ma grand'mère est morte en 1913. A l'heure de sa mort, la montre
qui était suspendue dans sa chambre s'arrêta, et personne n'arriva à la
remettre en marche. Quelques années après, son fils mourut, et le jour
même de sa mort, la montre commença à marcher, sans que personne n'y
eût touché.
M. Flammarion écrit à ce sujet :
Il est assurément bizarre qu'un esprit (un mourant ou un mort)
puisse arrêter une montre ou la remettre en marche.
Comment peut-il agir sur le ressort ? Cependant nous avons vu plus
haut que la foudre le fait.
Comme on peut voir, M. Flammarion revient