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à connaître la mort de son frère Harry, et qu'il est sûr que David l'ignorait.
M. Z..., lui-même, était présent et entendit les paroles de l'enfant. Celui-ci
ne délirait pas en ce moment. - (Charles Taylor, dans les Proceedings of
the S. P. R., vol. V, p. 459.)
XXVIIe CAS. - Cet autre cas a été communiqué à la Society for P.
R. par le Rév. J.-T. Macdonnald, qui l'eut de première main par Miss
0gle, sœur du percipient :
Manchester, 9 novembre 1884. - Mon frère John Alkin Ogle mourut
à Leeds le 17 juillet 1879 ; une heure à peu près avant son décès, il eut la
vision de son frère, mort seize ans auparavant, et il parut le regarder avec
une expression de profonde surprise, en s'écriant : « Joe ! Joe ! » Tout de
suite après, en donnant des signes d'étonnement encore plus vifs, il s'était
écrié : « Toi, Georges Hanley ! » A ces mots, ma mère, qui était arrivée
de Melbourne, ville située à quarante milles de Leeds, et où habitait
Georges Hanley, fut excessivement surprise « Comme c'est bizarre, ditelle,
qu'il voie Georges, qui est mort il y a dix jours ! » Ensuite,
s'adressant à ma belle-sœur, elle demanda si le malade en avait été
informé - ce à quoi elle répondit négativement. On constata que ma mère
était la seule personne présente qui
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eût connaissance du fait ; j'était présente et j’ai assisté à cette scène.
- (Signé : Harrirst H.Ogle.)
En répondant a des questions qui lui était adressées à se sujet, Miss
Ogle écrivit plus tard à la Society of P. R :
Mon frère John Aikin Ogle n'était pas dans le dédire et avait toute
sa connaissance lorsqu'il prononça les paroles que j'ai rapportées.
Georges Hanley n'était pour lui qu'une simple connaissance et non pas un
ami intime. Jamais on n'avait parlé devant lui de la mort d'Hanley.
(Proceedings of the S. P. R, vol. V, p. 460.)
XXVIIIe CAS.
Dans une ville située aux alentours de Boston se trouvait mourante
une fillette de 9 ans. Elle venait de s'entretenir avec ses parents en
indiquant quels étaient les objets lui appartenant qu'elle désirait laisser à