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Jeanne et sa sœur aînée est secoué ou plutôt soulevé avec violence. Les<br />

deux jeunes filles ont été immédiatement réveillées et ont hier. pensé :<br />

« Maman doit être morte.<br />

En effet, à 4 heures du matin, Mme Dumière rendait le dernier<br />

soupir.<br />

Ayant entendu Jeanne Dumière raconter ce fait à ses amies, je me le<br />

suis bien fait expliquer par elle, pour te le communiquer. »<br />

(Mme GILLOT, à Clérieux (Drôme).<br />

Ce qui paraît remarquable, dans le cas ci-dessus, c'est la grande<br />

énergie nécessaire pour ébranler et soulever un lit sur lequel dorment<br />

deux personnes - énergie infiniment supérieure à celle qu'il faut pour<br />

arrêter une pendule ou détacher un portrait d'une muraille.<br />

Vraisemblablement, comme nous avons dit déjà, en pareilles<br />

circonstances tes esprits clés défunts soutirent de la force vitale des<br />

organismes des individus présents.<br />

XIXe - Voici un deuxième cas de lévitation<br />

Page 155<br />

d'un lit, que j'extrais de la Revue Luce e Ombra (1916, page 142).<br />

Mme Annetta Boneschi-Ceccoli écrit ce qui suit, en date de mars 1919 :<br />

Le colonel D. F. était une excellente personne, officier à l'ancienne<br />

manière et ami zélé. Mais pour s'être uni en secondes noces avec une<br />

femme de religion différente de la sienne, il eut des différends acerbes<br />

avec ses parents. Ses enfants furent, avec son consentement, élevés dans<br />

la religion maternelle, tandis que le père restait fidèle à celle de ses pères.<br />

Sa dernière heure arrivée, et se sachant condamné pour maladie<br />

incurable, le pauvre colonel ne voulait pas se laisser convaincre de se<br />

faire assister par un ministre d'un autre culte : mais sa femme, dans<br />

l'intérêt de ses enfants, prétendit qu'il se soumît aux formes de sa<br />

confession.<br />

Je n'entrerai pas dans les détails ; je tiens seulement à déclarer que<br />

je m'éloignai de cette famille, sans cesser néanmoins de me procurer des<br />

nouvelles du pauvre officier.<br />

J'avais alors chez moi, bien plus en qualité d'amie que de<br />

subordonnée, une chère, bonne et intelligente jeune fille, Zaïre T., de<br />

tempérament très nerveux et hypersensible, un tantinet hystérique, et,<br />

selon ses dires, douée de médiumnité prouvée.<br />

Dans l'après-midi du 24 avril de l'année 1912, Zaïre se rendit chez<br />

le malade pour demander, comme d'habitude, de ses nouvelles.

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