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proposées jusqu'ici pou expliquer les faits ne suffit pour les éclaircir.
L'hypothèse télépathique est insuffisante, puisque nous nous trouvons en
face de manifestations d'ordre physique qui, d'ailleurs, se réalisent
souvent assez longtemps après la mort de l'agent. L'hypothèse
« vibratoire » devrait être soumise à la loi physique du carré inverse des
distances, ce qui ne se produit point dans les faits que nous avons
examinés ; d'autre part, cette force supposée ne pouvait pas agir
intelligemment sur un objet désigné, ce qui a lieu constamment dans la
pratique. Enfin, l'hypothèse de « coïncidences fortuites » ne tient pas non
plus, étant donné qu'il s'agit ici souvent de promesses faites durant la vie
et accomplies après la mort dans tous les détails - des promesses qui ont
donc été accomplies avec discernement, de manière à montrer un volonté
dirigeante. S'il en est ainsi, si ces argument sont irréfutables, si tout
contradicteur honnête ne peut s'empêcher de le reconnaître, alors il faudra
bien en conclure que la seule solution rationnelle du mystère est celle qui
consiste dans l'admission réelle, sur place, de l'entité spirituelle du défunt
intéressé aux événements ; en d'autres termes, dans la reconnaissance de
la validité de l'hypothèse spirite comme explication des phénomènes de
« télékinésie en rapport avec les événements de mort
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Ce que nous venons de dire peut être considéré comme la
conclusion synthétique de cet ouvrage ; c'est-à-dire que les phénomènes
de télékinésie en rapport avec les événements de mort, bien que
totalement négligés par les personnes qui s'occupent d'études
métapsychiques, constituent des phénomènes authentiques et contribuent
valablement à démontrer l'existence et la survivance de l'âme.
En ces conditions, il ne me reste qu'à compléter cette synthèse en
résumant brièvement les modalités avec lesquelles se produisent les
phénomènes en question, et les considérations théoriques qui en
découlent.
Les premiers phénomènes télékinésiques que nous avons présentés
dans la présente classification s'exercent sur des tableaux ou des portraits.
On a pu voir que, généralement, leur chute ne se produit point à cause du
clou qui se détache de la muraille, ni par la rupture du piton fixé au
tableau, ni par suite de l'usure du cordon qui le soutient, mais
indépendamment de toute cause naturelle, ce qui milite en faveur de
l'origine super normale des faits, et infirme l'hypothèse des
« coïncidences accidentelles ». Celle-ci est ensuite définitivement
éliminée par la considération que les phénomènes de télékinésie en