sur les mots guerre civile au nepal - Népal Sherpa Sig

The management of the arms... the cantonment of the People Liberation Army… The agreement
paved the way for handing them over to the UN arms monitors.
- ANNEE 2008.
- Le 15 janvier, une constitution provisoire est écrite. Elle confirme la destitution du roi et la
désignation d’un Premier ministre. Les maoïstes se joignent au mouvement. Ils ont 83 membres à
l’assemblée sur 330.
- Le 23 janvier l’United Nations Mission in Népal de l’O.N.U., l’U.N.M.I.N. fait venir 35 experts et
militaires pour contrôler les élections qui vont avoir lieu.
Anecdote : le roi fait savoir à Prachanda qu’il serait d’accord pour n’avoir qu’une fonction :
Like King Norodom Sihanouk of Cambodge. Refus de Prachanda.
Les maoïstes demandent à l’Union Marxiste Léniniste, l’U.M.L. Secrétaire général Madhav Kumar
Népal, de s’allier pour les élections. Une telle coalition donnerait aux forces de gauche la majorité
des 2 / 3 nécessaire pour les grandes décisions, la rédaction et l’approbation de la constitution
seraient rapidement terminées.... . Au nom de l’U.M.L. Madhav Kumar Népal refuse. Il pense que
son parti sera vainqueur aux élections qui vont avoir lieu. Deuxième pas de son glissement vers la
droite qui le conduira à s’allier puis à former un gouvernement avec le pari Népali Congress. Le
premier a eu lieu lors de l’élection du Président de la République.
Les élections ont lieu le 10 avril. Plus de 800 observateurs internationaux sont là. Etonnement des
observateurs étrangers, des médias, stupeur chez les politiciens népalais, le parti communiste
maoïste devient le parti le plus important du Népal. Surclassant de loin le parti de droite Népali
Congres et le parti communiste Union Marxist Leninist. Les partis communistes de la Terre
applaudissent, ils envoient des lettres de félicitation. Tous ? Non les partis d’extrême gauche
français restent silencieux.
- 28 mai 2008. LA REPUBLIQUE NEPALAISE EST PROCLAMEE.
A signaler il n'y a pas eu de nuit du 4 août qui aurait supprimé les privilèges. Ceux-ci courent
encore
- Le roi Gyanendra quitte le palais Narayanhiti et, dans son discours d’adieu, il clame son innocence
dans l’assassinat de son frère et de sa famille. Ce qui est certainement vrai. Quelques membres de
l’état-major de son armée constituant le bras des pays instigateurs de ces assassinats ont suffi à cette
tâche. D’ailleurs des bruits circulent dans Katmandu confortant cette thèse qu’il n’est pas utile de
donner ici mais que l’histoire rapportera un jour.
- Prachanda redemande à Madhav Kumar Népal, le numéro un du parti communiste Union Marxist
Leninist, l’U.M.L. d’ :
Establish a stronger red block.
Refus de Kumar Népal qui va s’allier avec la droite et l’extrême droite.
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