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D ' A N G L E TER R E.

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LlYHE \1, ~ECTlo.\ 1, CHAl'. \1.mUlle !le pouvail détermiller clle-meme le montantde la taxe; elle ll'avait ({ue le droit de réclamer aupresdes sessions trimestriellcs, si e lle la trouvailtrop élev(·e. A ces cours allaient tom; les appels desdispositions prises par les inspedeurs des pauvres.¡úllsi que des l'ésolutiollS des marguilliers, en matierest'onee1'nant les pauvl'es. Le refus malveillallt de sccoursde la part de rinspeetcur, les ahus de pouvoir dont ilse rendait coupable, étaiünt poursuivis par les voiesde la procédure crilllillclle. L'adion criminelle, pourrefus d'assistanec non motivé, pouvait etre aceompagnécd'une demande civile (actioll o( Irespass). Deslois poslérieures autoriserent les juges de paix a acco1'­del' temporairernent, de leur autorité, des secoursam: l'auues.Le but de la loi d'glisabefh, de rell1(~dier a11 paupél'isme,. ne fut pas attcint. eeHe plaie ne fit qu'augmentersous les SLuarls. A la fin du dix-septiemesiecle, le produit de la taxe des pauvres formait déjaune somme de six cent mille a huil cent mille livressterling annuellement, distribuée en secours a unemasse de deu-x cent cinquante mille a trois cent mili eindigents, ressortant a une proportion du vingtiemeau vingt-quatrieme de la populalion totale. Les conséquencesfurcnt le d('plol'ahle aete du l'c'gne deCharles II sur le domicile (settlement), et, par suitede eeHe loi, une guerre de plus en plus vive contreles petits propriétaires cultivant eux-memes leursfonds (1). Au dix-septit'~me sieele il existait encore,en Angleterre, cent soixante mille de ces petits propriétaires(/i'eellOld-(aJ'lJU!I's), repl'ésentant, ayec leurs

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