1907 T.34.pdf

Zekk. isérriu nyio înu;
DES BENI SNOUS 83
B.Izn. L'enfant que j'ai frappé est mon frère, aslâlënni
udiy oûma.
Il a mangé le pain que tu m'as donné, îtsu iayrùm ën?ii
dîia ûsB ,
ëlli :
Zekk. itsi ayrûm di dûsïà.
Après un pronom personnel, qui, que se rendent par
C'est toi que nous avons vu dans la forêt, tkkîtën elli
nezrù Ulyâbed ;
Zekk. edsékk agëzrin di lyàbed.
C'est lui que je conduirai à Tlemcen, nëttân elli siudày
i Tlénsin.
Parfois le pronom relatif n'est pas exprimé :
B.Sn. dârbat iuzdén luéltma, la petite fille qui est venue
est ma sœur;
B.Izn. ârgàziserkusen, l'homme qui ment.
Après les expressions, c'est moi, c'est toi, etc., le pro
nom relatif se rend par ai (ag) ou par a :
B.Sn. Inëttân agiinan ay.ed.enni,
paroles.
Zekk. onëtta agennân ayâlu.
c'est lui qui m'a dit ces
B.Sn. Mëkk alia-ûdm, c'est toi qui m'as frappé ;
Zekk. Isëkk ail-iûdm;
B.Izn. îsekk ag-ûyeren c'est toi qui as volé;
lumâ ag-ûdefen c'est mon frère qui est entré.
Si le verbe qui suit le pronom relatif se construit avec
une préposition, elle se place avant le verbe :
L'homme que j'ai cherché est parti, B.Sn. ârgdz milj
urzây irçh.