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44 ÉTUDE SUR LE DIALECTE RERBÈBE
R. diséonfm femmes, M. disënngn;
— difeoned
orleil,
ou le S de la particule «3 :
— difënned
;
B.Sn. ânnffèy nous sortirons, pour aà neffey;
ou le r de la négation ûr :
B.Sn. ûnnfyes nous ne sommes pas sortis;
— unnâyes je n'ai pas dit, pour ûrennâyes.
La racine n apparaît quelquefois dans le développement
d'une racine w :
B. iououa il est cuit, I seou;
Z. ebb être cuit, I sebb;
Ouargla imou il est cuit, I sam;
Zenaga ienoua, Ch. senou(i);
B.Sn. éuit, cuire, H tûififu ou tnénna;
V f. sàû, H sûtfifa ou snénna;
n. act. anénna cuisson, asûififi cuisine.
Par suite d'un dissimilation, n remplace quelquefois Ym
arabe :
dânezlàmt lézard, ar. L>Ij^ ;
B.Sn. ânesmir clou, ar.^Uw,
et 17 de l'article dans des cas rares :
dnzâr voisin, ar. y\.
On trouve parfois cette lettre ajoutée à la fin d'un mot
zouaoua. Ex. :
1. Cf. R. Basset, Et. dial. berb., p. 37; et permutation de \'n avec l'm,
p. 38 et 39; cf. aussi Zenal. du Mz., p. 3.