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ÉTUdÉS APPROFONDIES 14ô
On ne peut oublier, à ce propos, certaines crises ayant mar
qué l'évolution des connaissances théoriques sur la géologie
nord-africaine.
A diverses occasions, depuis les soixante dernières années,
des controverses scientifiques se sont élevées entre savants algé
riens et métropolitains. Elles ont été particulièrement vives après
1900.
A. PoMEL, fort de sa connaissance du pays,
en ouvrit 1ère :
il rompit des lances au sujet de la « Mer intérieure »,
et de
divers points de stratigraphie : âge des grès dits « nubiens » ;
classification des étages miocènes; « terrain saharien », etc.
J. TlSSOT, dans un mémoire resté manuscrit (Explication de
la carte géologique de la Subdivision de Batna —
24
décembre
1868),
la stratigraphie et la paléontologie des montagnes du sud cons
tantinois ;
accusait ouvertement COQUAND d'erreurs volontaires sur
et concluait durement :
« Il resterait à voir si c'est la méthode ou l'homme qu'il faut
d accuser, et si les négligences de celui-ci ne seraient pas dans
« ce cas d'autant plus coupables que sa position officielle, sa