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CHAPITRE VI<br />

CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE<br />

La géologie nord-africaine doit à des hommes d'action l'œu<br />

vre première que l'on a commentée longuement,<br />

pour souli<br />

gner l'effort qu'elle symbolise en des temps héroïques. On a dit<br />

comment la Commission de VExploration scientifique de l'Al<br />

gérie, envoyée par l'Institut de France;<br />

puis le Corps d'ingé<br />

nieurs du Service des Mines, ont fourni, de 1830 à 1850, les<br />

chercheurs méritants de ces pénibles débuts.<br />

De 1850 à 1889, le nombre des travailleurs s'accroît. Cer<br />

tains sont indépendants ; la plupart sont attachés au Service des<br />

Mines, toujours actif,<br />

ou à son organisme spécial devenu le Ser<br />

vice de la Carte géologique depuis 1882. Mais la création, à<br />

Alger, des Ecoles préparatoires à l'Enseignement supérieur<br />

(1879), assure aussitôt un rôle prépondérant à l'Université. La<br />

chaire et le laboratoire de géologie sont confiés à POMEL, qu'une<br />

carrière de naturaliste, déjà longue, rendait particulièrement<br />

digne de ce choix. Animateur puissant, il devient chef d'école<br />

et groupe des élèves, héritiers de ses traditions. Certains ont<br />

poursuivi leur carrière dans les Facultés de la métropole ; plu<br />

sieurs ont consacré à l'Afrique du Nord toute leur production<br />

scientifique.

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