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RAPPORT - SFRMS

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— 216 —pris en compte, l’écart entre la France et les autres pays européens est moinsmarqué.Tableau 72. Prévalence sur 12 mois (%) des troubles psychiatriques selon l’étude WorldMental Health Surveys 5PaysAu moins untroubleAu moinsun troublesévèreTroubleanxieux 1Trouble del’humeur 2Trouble ducontrôle desimpulsions 3Trouble lié àl’usage desubstances 4Belgique 12,0 2,4 6,9 6,2 1,0 1,2France 18,4 2,7 12,0 8,5 1,4 0,7Allemagne 9,1 1,2 6,2 3,6 0,3 1,1Italie 8,2 1,0 5,8 3,8 0,3 0,1Pays-Bas 14,9 2,3 8,8 6,9 1,3 3,0Espagne 9,2 1,0 5,9 4,9 0,5 0,3Ukraine 20,5 4,8 7,1 9,1 3,2 6,4USA 26,4 7,7 18,2 9,6 6,8 3,81. Agoraphobie, anxiété généralisée, trouble obsessionnel-compulsif, trouble panique, état de stress posttraumatique,phobie sociale, phobie spécifique.2. Trouble bipolaire, dysthymie, dépression majeure.3. Boulimie (non exploré en Ukraine), trouble explosif intermittent (exploré uniquement aux USA et enUkraine), troubles de l’enfance et de l’adolescence persistants à l’âge adulte (trouble hyperactivité déficitattention (non exploré en Ukraine), trouble des conduites, trouble oppositionnel).4. Abus ou dépendance alcool ou substances psychoactives (exploré uniquement aux USA).3. Enquête santé mentale en population généraleLa méthode de cette enquête conduite exclusivement en France entre 1999et 2003 par le Centre Collaborateur de l’OMS et la DREES a été présentée dans laquestion 1 6 . Les différences méthodologiques majeures avec l’étude ESEMeDprécédemment décrite sont :(i)La méthode d’échantillonnage, basée ici sur une agrégation dedonnées collectées dans 47 sites français, avec sélection des sujetspar la méthode des quotas dans chaque centre. Le taux departicipation n’a pas été documenté dans cette étude, notamment laproportion et les caractéristiques des personnes ayant refusé departiciper.(ii) L’utilisation pour l’entretien diagnostique structuré du MINI pourlequel les critères de durée pour l’évaluation varient d’un trouble àl’autre, contrairement au WMH-CIDI. Les prévalences ne peuventdonc être directement comparées entre les deux études, puisque lapériode d’évaluation est différente.(iii) Les diagnostics générés par le MINI selon les critères CIM-10,peuvent être plus inclusifs que ceux posés selon les critères DSM-IV, en particulier pour le diagnostic d’épisode dépressif majeur.

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