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Langue, langage et parole en éducation - Université François ...

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112Les acteurs, Ghyslaine nous <strong>en</strong> parlepeu, simplem<strong>en</strong>t pour nous signaler lacompét<strong>en</strong>ce du corps médical <strong>et</strong> pourévoquer son refus d’avoir à faire auxstructures habituelles, qu’elle connaitpar ailleurs. La compét<strong>en</strong>ce, Loïc n’<strong>en</strong>parle pas, elle est somme toute peuévoquée <strong>et</strong> est attachée au corps médicalprincipalem<strong>en</strong>t, hormis une allusion <strong>en</strong> c<strong>en</strong>tre de formation. La multiplication des acteurs, làc’est Marie qui est abs<strong>en</strong>te parce qu’elle a suivi un parcours tracé. Par contre Delphine <strong>et</strong>Loïc qui ont un parcours partagé <strong>en</strong>tre le milieu ordinaire <strong>et</strong> le milieu protégé on mal vécuc<strong>et</strong>te multiplication d’interlocuteurs. Pascal s’est un peu dégagé de c<strong>et</strong>te dim<strong>en</strong>sion <strong>et</strong>Ghyslaine ne l’évoque que pour nous dire qu’il faudrait la supprimer. 100L’emprise peut se rapprocher de certains sous-thèmes de la transition, l’accompagnem<strong>en</strong>t,l’ori<strong>en</strong>tation <strong>et</strong> la soumission. C’est principalem<strong>en</strong>t dans l’ori<strong>en</strong>tation qu’elle est exprimée.Ghyslaine sait ce qui l’att<strong>en</strong>d, donc elle ne veut pas y aller, les autres ont tous subi le dictatdes OPS <strong>et</strong> des CRP avec plus ou moins de rébellion. Ce qui revi<strong>en</strong>t est <strong>en</strong> filagramme c’estla question du choix, choix du travail ou choix de l’ori<strong>en</strong>tation.Pour finir l’inadéquation, qui prés<strong>en</strong>te un pic très important. Nous avons repris les séqu<strong>en</strong>cesliées à l’inadéquation <strong>et</strong> les avons séparées <strong>en</strong> cinq catégories <strong>en</strong> fonction du <strong>langage</strong> quinous était t<strong>en</strong>u. Précisons que l’on <strong>en</strong>t<strong>en</strong>d par évaluation, celle de la personne par l’un desacteurs, mais aussi dans une moindre mesure l’évaluation d’une situation <strong>en</strong> li<strong>en</strong> avec lehandicap de la personne. Le résultat se décompose <strong>en</strong> deux parties égales, évaluation <strong>et</strong>dispositifs d’un côté, le ress<strong>en</strong>ti du rapport aux acteurs de l’autre. Les dispositifs mis <strong>en</strong>cause sont, dans l’ordre d’importance, les bilans, les stages, la formation <strong>et</strong> les EA, dans unemoindre mesure puisque seule Delphine<strong>en</strong> parle, L’inadéquation de l’évaluationvi<strong>en</strong>t principalem<strong>en</strong>t au mom<strong>en</strong>t desbilans, puis dans la nature de laformation, mais aussi <strong>en</strong> préalable àl’embauche ou dans les moy<strong>en</strong>s à m<strong>et</strong>tre<strong>en</strong> œuvre.100 Pascal L323-236 Ghyslaine L394-396

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