Geschichte der Königlich Preussischen ... - Warburg Institute

111. 112. Briefe der Kurt'iirstia Sophie und LEiBNizens (März 1711). 211
sollen angestellet werden und wurde der Donnerstag beliebt. Der H[err] Hofpred[iger]
Jablonski unterliels nicht, Ew. Exc[ellenz] honorificentissime zu gedencken
und Dero Gegenwart zu wünschen, worinnen ihm alle beyzufallen Ursach hatten.
Es erwehnte H[err] Jablonski, dal's der Cronprinz ehmals versprochen, seine mathematische
Instrumenta, deren er einen ganzen Kasten voll hatte, der Societät zu
geben, wann er würde sehen, dafs etwas darinnen gethan würde. Allein ich hab
diesen Kasten schon bey dem H[errn] Hauptmann Bossen gesehen , welchem der
Cronprinz denselben zur neuen Cadettenacademie zu Magdeburg vei^ehrt; ist also
dieses schöne Praesent versäumt worden.
Es ist nicht allein der H[err] Obermarschall , sondern auch der H[err] Oberkammerherr
von hiesigen Hort" weg, doch nicht auf einerley Weise . . .
111.
(Vergl. Geschichte der Akademie S. 178').
Brief der Kurfürstin Sophie an Leibniz vom 11. März 171 1.
[Klopp, Die Werke von Leibniz. 9. Bd. S. 324 f.]
J'ay receu votre lettre de Brunsvic, et je Tay lue ä l'Electeur auquel vous
auriez mieux fait de vous adresser vous-meme; car il a ri de la chute que vous
avez faite, et d'avoir inieux aime d'estre ä Berlin qu'icy, car ce ne sont pas les
pieds que l'on estime le plus en vou.s, mais la teste. Cependant nous sommes bien
aises que Tun qui soutient l'autre, est ä present gueri, comme Madame la Princesse
Royale le mande, et peutestre que la chüte que vous avez faite, cache un peu la
goutte qui vous tient au lit. Mad. de Sassetot nie mande qu'elle espere que la guerre
de Hildesheim sera bientost finie. Nous n'en savons point icy. On est entre en Peine
et en Hildesheim sans coup ferir, et les bourgeois sont impatients qu'on ne veut
pas leur faire prester le serment k l'Electeur. Ils sont ravis qu'il est en estat de
leur rendre justice. II est vray que le Roy de Prusse s'est oifert ä faire rendre
justice aux chanoines, mais ce que la maison de Brunsvic peut faire elle-meme,
eile n'a pas besoin d'un troisieme pour cela. Cependant il semble que S. M. est mal
satisfaite et croit ä ce qu'on dit que vous estes ä Berlin jiour espionner, quoyque
nous ne sommes pas curieux des affaires d'autruy.
3Iadame la Duchesse d'Orleans voudroit bien avoir les medailles que vous
trouverez marquees sur le papier que je vous envoye, et oü je ne connois rien.
Je vous prie de vous enquerir si l'antiquaire du Roy les connoist, et si on les pouvoit
trouver. Je serois ravie de les payer et de les luy envoyer. S.
11-2.
(Vergl. Geschichte der Atadcniie S. 178).
Aus dem Schreiben von Leibniz an die Kurfürstin Sophie
vom 21. März 171 1.
[Klopp, Die Werke von Leibniz. 9. Bd. S. 326 f.]
.... II est vray qu'il y a eu des gens qui ont insinue au Roy, que je venois
icy pour les aff"aires courantes. Mais j 'espere que sa M'^^ en sera mieux informee pre-
sentement, et je me moccjue des insinuations destruites par l'evidence des choses.
Je voudrois cpie mon mal eüt ete la goutte, j'en aurois ete quitte en peu de
jours. Mais la playe ä la jambe n'est pas encor entierement guerie. Et avanthier
un des Medecins du Roy in'est venu voir. et in'a marque obliquement qu'il seroit
bien aise de voir le mal, apparemment pour en faire rapport. Car j'ay l'honneur
1 lu der ersten Annierkung ist dort Nr. 1 11 — 113 zu lesen.
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