<strong>PRUD</strong> – <strong>projet</strong> n° <strong>37</strong> – <strong>rapport</strong> <strong>scientifique</strong> <strong>final</strong> (<strong>janvier</strong> 2004)L’agglomération des activités et des populations, inhérente à l’urbanisation des régions,engendre à la fois des économies et des deséconomies externes. L’existence d’économiesd’agglomération ne peut donc qu’accentuer le problème de la gestion des coûts externes : de fait, lesavantages procurés par les infrastructures et les opportunités qu’elles offrent sont susceptiblesd’induire une saturation des bassins d’emplois, exercer une pression considérable sur l’équilibre desmarchés consécutive à l’accroissement de la taille de la population, et affaiblir les mécanismes de larépartition eu égard au nombre croissant de bénéficiaires. Dans ces conditions, il est aisé decomprendre que lorsque la pollution et la congestion totales – les deséconomies externes ou encorecoûts externes – augmentent, elles peuvent devenir un réel contrepoids aux économiesd’agglomération, et donc réduire le bien-être des populations. Dès lors, pour stigmatiser ce « switchingpoint » des effets positifs de l’urbanisation en externalités négatives, nous considérerons qu’unecorrélation positive entre une variable régionale et le niveau des dépenses réelles par tête des ménagestraduirait une externalité positive et une corrélation négative signifierait un effet de congestion.Tableau 6 : Coefficients de régression des déterminants du niveau de vie des ménages –Côte d’Ivoire 1995ConstantePAUVRES NON PAUVRES ENSEMBLET Sig T T Sig T TβββSig T5,0773 38,362* 0,0000 5,5079 53,946* 0,0000 5,4799 50,073* 0,0000Caractéristiques des ménagesAge du chef -0,0001 -0,110 0,9123 0,0009 1,503 0,1332 0,0009 1,543 0,1232Sexe du chef – Homme 1 0,0174 0,757 0,4499 0,0056 0,309 0,7572 0,0210 1,076 0,2822Nationalité - Ivoirienne 2 0,0438 1,865** 0,0635 0,0157 0,814 0,4161 0,0622 3,064* 0,0022Agriculteur progressif 3 0,0617 1, 079 0, 2819 0,0359 0,951 0,3420 0,0720 1,721** 0,0856Agriculteur de subsistance 0,0066 0,146 0,8839 -0,0474 -1,532 0,1258 -0,1139 -3,395* 0,0007Indépendant avec capital0,06221,165 0,2453 -0,0360-1,125 0,2609 0,00880, 245 0, 8066Indépendant marginal 0, 0406 0,866 0,3872 -0,1010-3,286*0,0011 -0,1131 -3,354* 0,0008Salarié non protégé -0,0093 -0, 132 0,8950 -0, 0119 -0,3330, 7392 0,0257 0,633 0,5266Salarié protégé0,0305 0, 508 0,6120 0,1059 3, 190* 0,00150,1519 4, 052* 0, 0001Taille du ménage-0,0035 -1,320 0,1882 -0,0304 -13, 495* 0,0000 -0,0400 -18, 169* 0,0000Caractéristiques régionalesAgricole 4 -0,0404 -0,839 0,4023 -0,0117 -0,302 0, 7625 -0,0394 -0,963 0,3359Anciennement tertiaire 0,0250 0,230 0,8186 0, 0910 1,485 0, 1<strong>37</strong>9 0,1231 1,818* * 0,0694En tertiarisation-0,0064 -0,228 0,8198 -0,0449 -1,804** 0, 0717 -0,0681 -2, 685* 0,0074IES Faible 5 -0,0634 -0,615 0,5389 -0,0030 -0,056 0, 9556 -0,0455 -0,763 0,4457IES Moyen -0,0090 -0,340 0,7345 0,0458 1, 825** 0, 0684 0,0261 1, 059 0,28986Pauvre-0,0524 -0,746 0,4563 -0,0512 -0,880 0, <strong>37</strong>89 -0,0673 -1,115 0,2651Intermédiaire-0,0575 -0,731 0,4656 0,0115 0,193 0, 8474 0,0019 0, 030 0,9760Taux d’urbanisation -0,1476 -1,001 0,3180 0,1059 0,950 0, 3424 0,0578 0, 483 0,6292Zone de résidence – Urbaine 7 0,0411 1,441 0,1508 0,0744 3, 609* 0, 0003 0,0617 2, 763* 0,0058R 2 -ajusté 0,6 27,2 36,0F (Sign) 1,08283 (0,3694) 15 ,65241 (0, 0000) 30,55197 (0,0000)financières. Elle est ensuite ramené e à la population régio nale et, s’appuyant sur la loc alisation du si ège socialdes entreprises, elle intègre le découpage administratif en 16 régions en vigueur en Côte d’Ivoire depuis 1997.De même, Sanogo définit les spécificités régionales en calculant successivement des indices de spécificité, uncoefficient de localisation – ce dernier offrant une meilleure pondération aux activités régionales les plusreprésentatives en termes de valeur ajoutée – et des coefficients de spécialisation – visant à apporter desinformat ions supplémentaires sur le degré de spécialisation des régions par <strong>rapport</strong> aux noyaux d’activités ayantservi au calcul des indices de spécificité et de localisation. Par ailleurs, entendant l’infrastructure au sens desecteurs spécifiques d’activité – et donc dans sa dimension productive, correspondant à la fois à un service et àl’ensemble des facteurs de production mis en œuvre pour le produire -, Sanogo définit le niveau desinfrastructures économiques et sociales des différentes régions retenues dans cette étude. A cet effet, ilcaractérise les régions grâce à une analyse en composantes principales, intégrant des indicateurs désagrégésd’infrastructures – préalablement calculés sur la base des stocks d’infrastructures physiques disponibles dans lesrégions de Côte d’Ivoire en 1995 et reconstitués grâce à la Banque des données urbaines et régionales duBNETD.98
<strong>PRUD</strong> – <strong>projet</strong> n° <strong>37</strong> – <strong>rapport</strong> <strong>scientifique</strong> <strong>final</strong> (<strong>janvier</strong> 2004)N 254 726 1000(1)Base = Femme ; (2) Base = Etrangers ; (3) Base = Chômeurs et inactifs ; (4) Base = Régions industrielles ; (5) Base = IES –infrastructures économiques et sociales - élevées ; (6) Base = Régions riches ; (7) Base = Rurale.Source : A partir des données de l’EPAM 1985 et de l’ENVM 1995 – Pondération normaliséeLe tableau 6 présente les résultats de la régression par les MCO et appelle plusieurscommentaires. Ainsi, alors que le modèle explique 36% de la variation de la variable dépendante pourl’ensemble de la population, et 27% pour les ménages non-pauvres, il s’avère totalement impuissantpour expliquer le niveau de vie des ménages pauvres.En effet, une analyse des déterminants du niveau de vie fait apparaître l’extrême difficulté àidentifier les variables d’action d’une lutte en vue d’améliorer la situation des ménages pauvres enCôte d’Ivoire. De fait, l’ensemble des variables liées aux caractéristiques de ces ménages, de mêmeque celles associées aux spécificités régionales ne semblent avoir aucune incidence sur leur niveau devie : le modèle retenu n’explique que 0,6% de la variation du logarithme des dépenses réelles par têteet par an des ménages pauvres en Côte d’Ivoire. Ce résultat rappelle, si besoin était, que la pauvreté estun phénomène complexe et multidimensionnel. En particulier, l’analyse met en avant ici unedimension psychologique du phénomène telle que décrite par les pauvres eux-mêmes. En effet, selonles conclusions de l’enquête MARP 73 – volet qualitatif de l’ENVM 1995 -, on note que dans sadimension psychologique, telle que perçue par les pauvres, la pauvreté traduit une certaine« malédiction », une « malchance » et une « fatalité » : est pauvre celui qui, malgré sa volonté et sesefforts, n’arrive pas à « s’en sortir » et qui se sent impuissant contre la volonté divine de le voirpauvre. Un aspect de cette pauvreté est l’impuissance face à l’adversité, le pauvre étant celui qui nepeut se créer des opportunités tant économiques que relationnelles. Cette absence de lisibilité àlaquelle sont confrontés les pauvres nous apparaît également dans cette configuration d’analyse.L’impact positif et significatif de la constante suggère d’autres déterminants plus pertinentsque ceux retenus dans cette étude – et qui fondent cependant la plupart des exercices de ce type. Onretiendra, entre autres variables potentiellement pertinentes, les transferts effectués des branchesfamiliales les plus nanties vers celles plus pauvres. Malheureusement, l’absence d’une telle variable nenous permet pas d’en apprécier la portée. Toujours est-il que dans un contexte d’effritement dessolidarités communautaires induit par la prééminence de l’ère du « donnant-donnant » (Marie, 1995),la vulnérabilité des ménages à la pauvreté reste particulièrement forte, cette situation étant encore plusdélicate pour les ménages non-ivoiriens – le modèle suggère, en effet, que le fait d’être ivoirien accroîtle niveau de vie des ménages pauvres. Sans doute que les difficiles conditions d’immigration de cesétrangers – burkinabés, maliens, nigériens entre autres – et leurs fortes localisations dans les secteursde subsistance de l’informel accroissent leur indigence.En outre, pour l’ensemble de la population, la régression suggère que les caractéristiques desménages exercent une influence plus significative sur le niveau de vie des ménages que les variablesrégionales. En particulier, la nationalité et les activités non vulnérables – agriculture progressive etappartenance au salariat protégé – tendent à accroître le niveau de vie des ménages. En revanche, lavulnérabilité du chef de ménage sur le marché du travail expose significativement le ménage à lapauvreté. De la même manière, la vulnérabilité 74 à la pauvreté des ménages de grande taille paraîtforte 75 . Cette dernière remarque vaut encore plus pour les populations non pauvres. En ce qui concerneles caractéristiques régionales, on observe que, par <strong>rapport</strong> aux régions industrielles, le processus de73 MARP : Méthode active de recherche participative, utilisée pour comprendre les conditions de vie despopulations et les processus de leur paupérisation. En 1995, cette méthode s’est réalisée sur 25 des 100 sitesretenus par l’INS pour l’enquête ENVM et a concerné 2 ménages par site. Outre les dimensions économiques etmatérielles, l’enquête met en avant une dimension sociologique qui traduit une certaine dépendance, une perte dedignité, une absence de pouvoir, une exclusion des réseaux de solidarité et un isolement social.74 La vulnérabilité traduit ici le risque d’appauvrissement des ménages.75 Cette situation pourrait être toute autre si l’on prenait en compte les économies d’échelles. Il importe derappeler que Koné (2002b) montre que la composition du ménage joue un rôle central dans les stratégies desurvie des ménages en Côte d’Ivoire, et que les ménages les plus pauvres seraient beaucoup plus ceux privés de« bras valides ».99
- Page 1:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 4:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 8 and 9:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 10 and 11:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 12 and 13:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 14 and 15:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 16 and 17:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 18 and 19:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 20 and 21:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 22 and 23:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 24 and 25:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 26 and 27:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 28 and 29:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 30 and 31:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 32 and 33:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 34 and 35:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 36 and 37:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 38 and 39:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 40 and 41:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 42 and 43:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 44 and 45:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 46 and 47:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 48 and 49:
PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 50 and 51: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 52 and 53: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 54 and 55: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 56 and 57: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 58 and 59: 12PRUD - projet n° 37 - rapport sc
- Page 60 and 61: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 62 and 63: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 64 and 65: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 66 and 67: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 68 and 69: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 70 and 71: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 72 and 73: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 74 and 75: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 76 and 77: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 78 and 79: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 80 and 81: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 82 and 83: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 84 and 85: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 86 and 87: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 88 and 89: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 90 and 91: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 92 and 93: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 94 and 95: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 96 and 97: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 98 and 99: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 102 and 103: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 104 and 105: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 106 and 107: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 108 and 109: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 110 and 111: PRUD - projet n° 37 - rapport scie
- Page 112 and 113: Chapitre IILA CENTRALITE(RESEAU URB
- Page 114 and 115: LE RESEAU URBAIN DU MALIGuy Pourcet
- Page 116 and 117: - Distinguer l'influence des facteu
- Page 118 and 119: §1- L'existence d'un lien entre le
- Page 120 and 121: Graphe N° 1 : Ecarts entre les eff
- Page 122 and 123: Graphe N° 3 : Indicateurs de spéc
- Page 124 and 125: dans les 50 cercles puis dans les 1
- Page 126 and 127: Le calcul des écarts et du Khi² c
- Page 128 and 129: I- EVALUATION DES CAPACITES D'EXPOR
- Page 130 and 131: Le graphe N° 10, qui représente l
- Page 132 and 133: Appariement des flux d'échanges in
- Page 134 and 135: transport interurbains. Ce travail
- Page 136 and 137: (δu , δr) dBS >= CE= C° + CT(EA)
- Page 138 and 139: Annexe N° 1EVALUATION DES PRODUCTI
- Page 140 and 141: Cadre de cohérenceT blσ bl = σ b
- Page 142 and 143: locales du centre l. Cela permet de
- Page 144 and 145: 143
- Page 146 and 147: ECHANGES TRANSFRONTALIERS ENTRE LA
- Page 148 and 149: Situées aux frontières, les princ
- Page 150 and 151:
1.3 Données ethniques et fragmenta
- Page 152 and 153:
espaces d’échanges, des espaces
- Page 154 and 155:
d’opportunité qu’offre ces der
- Page 156 and 157:
sont non seulement les commerçants
- Page 158 and 159:
Tableaux 3: Volume des produits agr
- Page 160 and 161:
loi du marché, des distances et de
- Page 162 and 163:
Prix des produits manufacturés de
- Page 164 and 165:
La zone frontalière est objet d’
- Page 166 and 167:
échapper aux contrôles des forces
- Page 168 and 169:
Faso. Ces deux voies importantes lu
- Page 170 and 171:
les populations communes de la Côt
- Page 172 and 173:
LE SYSTEME DES PLACES DE MARCHE DAN
- Page 174 and 175:
* en produits de cueillette, de cha
- Page 176 and 177:
trans-frontaliers et l’orpaillage
- Page 178 and 179:
Ces 43 marchés hebdomadaires sont
- Page 180 and 181:
D. Les fonctionsLes marchés de la
- Page 182 and 183:
concertées destinées à améliore
- Page 184 and 185:
Ces dispositions s’articuleront a
- Page 186 and 187:
détail pour faire des bénéfices.
- Page 188 and 189:
- de la gestion de façon durable d
- Page 190 and 191:
ANNEXE 2- RESULTAT DES ENQUETESProf
- Page 192 and 193:
LE SYSTEME DES PLACES DE MARCHE DE
- Page 194 and 195:
déplacent en utilisant les sotrama
- Page 196 and 197:
la mairie du District, la BHM et la
- Page 198 and 199:
l’Etat a reconstruit 412 places d
- Page 200 and 201:
2. L’analyse des facteurs de loca
- Page 202 and 203:
Les épouses qui exercent une activ
- Page 204 and 205:
Les questions de l’enquête ont p
- Page 206 and 207:
ConclusionAu terme de cette étude,
- Page 208 and 209:
Chapitre IIILA GOUVERNANCE(Gestion
- Page 210 and 211:
LE FINANCEMENT DU SERVICE DES DECHE
- Page 212 and 213:
2001 : 551 milliersd’eurosAccra M
- Page 214 and 215:
1 - Ouagadougou et Bobo-DioulassoAN
- Page 216 and 217:
mondiale (Accra a été réintégr
- Page 218 and 219:
Rétrospectivement, la mise en plac
- Page 220 and 221:
LA GESTION DES ORDURES MENAGERES A
- Page 222 and 223:
1-1- L’organisation du secteur de
- Page 224 and 225:
Selon Adam Smith, les services coll
- Page 226 and 227:
financé par les propriétaires de
- Page 228 and 229:
Tout d’abord, il est vrai et dit
- Page 230 and 231:
fontaines etc. Sur les 420 employé
- Page 232 and 233:
la communauté qui désire réalise
- Page 234 and 235:
Voisinage 33 22,6Compétences techn
- Page 236 and 237:
ecruter d'autres afin d'assurer le
- Page 238 and 239:
En plus, comme il n’existe aucun
- Page 240 and 241:
s’annonce très difficile tant qu
- Page 242 and 243:
DECENTRALISATION ET ACCES AUX RESSO
- Page 244 and 245:
- la taxe sur les carrières et l
- Page 246 and 247:
Tableau n° 2 : Evolution des impô
- Page 248 and 249:
Désignation Prévisions Réalisati
- Page 250 and 251:
Yirimadio.7.009 habitantsSource : R
- Page 252 and 253:
Les activités professionnelles rep
- Page 254 and 255:
PrévisionsF CFARéalisationF CFATa
- Page 256 and 257:
Au niveau du District, les difficul
- Page 258 and 259:
Source : Compte administratif de la