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PRUD – projet n° 37 – rapport scientifique final (janvier ... - gemdev

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PrévisionsF CFARéalisationF CFATauxréalisation%Produits des services dudomaine et ventes diverses 493.750.000 449.438.260 91,02 20,92Impôts et Taxes1.432.000.000 1.326.908.883 92,66 61,8Autres produits de gestioncourante 351.400.000 318.223.074 90,56 14,81TOTAUX 2.<strong>37</strong>7.150.000 2.148.<strong>37</strong>0.217 90,38 100Source : Compte administratif de la mairie – exercice 2001.dePart en % surTotal desréalisationsAu niveau des recettes de fonctionnement, le taux de réalisation s’est amélioré en passant de 85,74%en 2000 à 90,38% en 2001. Au niveau des recettes fiscales, il y a eu moins de prévision qu’en 2000mais plus de réalisation. Les réalisations ont augmenté de 20,39%. En matière d’impôts et taxes, onpeut toujours mieux faire dans le District de Bamako en matière d’évaluation et de collecte des impôtset taxes.Tableau N° 11 : Les dépensesPrévisionsF CFARéalisationF CFADépenses de fonctionnement(DF) 2.<strong>37</strong>7.150.000 1.753.724.492 73,77Dépenses d’investissement(DI) 5.760.900.000 5.288.718.752 91,80TOTAL 8.138.050.000 7.042.443.244 86,54Source : Compte administratif de la mairie – exercice 2001.Taux de réalisation%Le taux global d’exécution des dépenses est de 86,54% contre 65,60% en 2000. A la clôture del’exercice 2001, l’excédent de fonctionnement (recettes de fonctionnement dépenses defonctionnement) est de : 394.645.725 F CFA. Le déficit d’investissement (recettes d’investissement –dépenses d’investissement) est de : -340.344.972 F CFA. Malgré un quasi triplement (x 2,79) le tauxde réalisation a été meilleur 86,54% en 2001 contre 65,60% en 2000. Cela montre qu’en matièrebudgétaire, des progrès sont possibles. La fiscalisation peut et doit être améliorée pour rendre leDistrict plus efficace dans sa mission de développementDans les communes et le District, les performances fiscales sont médiocres. L’assiette est trèsmal connue. Les résultats en matière de prévision et de réalisation révèlent les carences des autorités etdes services de l’assiette. La fiscalisation reste faible et partielle. On semble se plaire dans cettemédiocrité. Le doute plane désormais sur la capacité du District et ses communes à relever le défit dela décentralisation sur le plan financier, à savoir : susciter et organiser la participation financière despopulations à un programme de développement économique, social et culturel d’intérêt régional oulocal.L’ambiance qui prévaut actuellement dans les mairies de Bamako à l’issue du premier mandat des dixneuf anciennes communes n’incite guère à l’optimisme. L’administration de proximité à montrer desinsuffisances à Bamako. Durant ce mandant, aucune volonté manifeste n’a été enregistrée en matièrede mobilisation des ressources locales. Ni le District, à fortiori les communes n’ont pu obtenir desrésultats significatifs en matière de fiscalisation des hommes et des activités. Cependant les autoritésmunicipales ne cessent de revendiquer l’accélération du processus de décentralisation par le transfertdes compétences et des ressources. Mais au niveau local, on ne s’investit pas sérieusement dans lamobilisation des ressources, notamment fiscales. Durant ce mandat, c’est la spéculation foncière qui acaractérisé la gestion des collectivités de Bamako.257

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