Journal des mines
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en posant<br />
EMPLOI DES COORDONNÉES CURVILIGNES.<br />
f = fn=<br />
2 (n+ 1)(2n + 1.) r'(n + 1) 2'":<br />
Si est > D, on aura, en désignant par f',2 le coefficient<br />
(n +1)(2/2 + 1)<br />
n (2n-1) f<br />
2D<br />
R -1-13! = f + 24, log. hyp. -D-<br />
D<br />
57,<br />
rn<br />
r, (2n+ 1)<br />
Les deux séries qui ont respectivement pour terme général<br />
f et ri sont l'une et l'autre convergentes. En effet,<br />
on a<br />
et, par suite,<br />
F(ni)<br />
(1 1)- = 1 n (n)<br />
vc° r (2n + i)<br />
(2n-1)1*(n+ 1) 2"-I =<br />
Sil' on élève au carré chacun <strong>des</strong> termes de cette dernière<br />
série, on obtiendra une nouvelle série plus rapidement<br />
convergente, dont la sommation donnera un résultat inférieur<br />
à 2 ; or le terme général F de cette nouvelle série<br />
est lié à f et à r, par les équations suivantes<br />
4(n+ 1) (2n+ i) 4n ,<br />
Fn = (2n- 1)'<br />
=<br />
2n 1 fn.<br />
On a donc, lorsque n est égal ou supérieur à l'unité,<br />
> 2/74 Fn > 2rn.<br />
Par là on voit que f et 1 f, sont deux quantités<br />
finies et nécessairement inférieures à l'unité.<br />
"<br />
EMPLOI DES COORDONNÉES CURVILIGNES.<br />
Lorsque le rapport devient infini, R' est négligeable<br />
D<br />
vis-à-vis de R. et l'on a simplement<br />
f<br />
21. Action réciproque de deux portions d'une surface cylindrique<br />
séparées par un plan parallèle à l'axe. Supposons<br />
maintenant que les deux portions d'une surface cylindrique<br />
dont on veut évaluer les attractions réciproques<br />
soient situées de part et d'autre d'un plan sécant P parallèle<br />
à l'axe du cylindre. Supposons, pour fixer les idées,<br />
que cet axe soit horizontal, .et concevons, par un point M<br />
de l'une <strong>des</strong> arêtes, trois axes rectangulaires Mx, My, Mz,<br />
le premier, parallèle à l'axe du cylindre, le second, vertical<br />
il suffira, pour que le troisième soit normal à la surface, de<br />
placer l'origine M dans le plan horizontal qui contient l'axe<br />
du cylindre. La position d' un point quelconque n du cylindre<br />
peut se définir, soit au moyen <strong>des</strong> coordonnées (x,<br />
y, z), soit par l'abscisse x et l'arc MN = p qui sépare de<br />
l'origine M la projection N du point n sur le plan Myz. Le<br />
point n .peut être regardé comme le centre d'un élément<br />
superficiel dont l'étendue, en coordonnées (p, x), est adcpdx.<br />
L'action de deux éléments analogues n et n' situés de part<br />
et d'autre du plan P produira trois composantes parallèles<br />
aux trois axes; la composante verticale est seule à<br />
considérer ici, à cause de la symétrie, qui annule en fin de<br />
compte l'ensemble <strong>des</strong> composantes horizontales, et cette<br />
composante verticale est donnée par l'équation<br />
F a3II(X) sin sin y' dydy,dxdx,<br />
Nous pouvons, puisque la position de l'origine est arbitraire,<br />
supposer que le plan Iyz contienne le point n' ; par<br />
TOME V, 1874.<br />
10<br />
14.5