24.04.2014 Views

La Bible Authentique, quelle version ?

Cet ouvrage, malgré sa simplicité, cherche à combler le manque évident de documentations en langue française sur le danger de la multiplication des versions modernes de la Bible, et sur la confusion apparente qui en suit. "La Bible Authentique: Quelle Version?" provient de différentes sections des livres des grands champions, défenseurs du Texte Reçu, comme: Edward F. Hills, Wilbur N. Pickering, Peter S. Ruckman, Bruce Pringle, Barry Burton, Donald T. Clarke, Cecil J. Carter, et principalement le Dr. David Otis Fuller dont des portions considérables de son œuvre excellente "Which Bible" furent traduites et adaptées à l'histoire de la Bible française. J'ai ajouté à ceux-ci un certain nombre de suppléments sur les différentes versions modernes et sur la Critique Textuelle Néologique qui les a produites. Le but de mon travail est de présenter le problème des différentes versions de la Bible et leurs origines. L'héritage glorieux des Réformateurs français, la Bible d'Olivetan (1535) dans ses versions Martin et Ostervvald, sera contrasté avec le passé ombrageux des Bibles modernes issues de l'érudition d'une Critique Textuelle qui n'est pas sans soupçon. Des faits qui furent refusés et même dissimulés aux chrétiens francophones seront mis à jour pour la première fois. Aucun effort ne sera fait pour amadouer l'érudition humaniste avec ses fabulations qui s'opposent à l'Inspiration perpétuelle et la Préservation providentielle des Saintes-Écritures, et qui prétend avoir reconstruit le texte de la Parole de Dieu à partir de deux anciens manuscrits reconnus comme les plus défectueux et les plus corrompus, à savoir: le Codex Vaticanus et le Codex Sinaiticus. Contrairement aux pantins de la Critique Textuelle Néologique, l'auteur n'hésite pas à déclarer que la Bible Authentique, dans ses versions Martin et Ostervald, est complètement inspirée de Dieu, inébranlable et infaillible dans toutes ses parties; et que son texte fur Préservé providentiellement et uniquement dans le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et dans le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament.

Cet ouvrage, malgré sa simplicité, cherche à combler le manque évident de documentations en langue française sur le danger de la multiplication des versions modernes de la Bible, et sur la confusion apparente qui en suit. "La Bible Authentique: Quelle Version?" provient de différentes sections des livres des grands champions, défenseurs du Texte Reçu, comme: Edward F. Hills, Wilbur N. Pickering, Peter S. Ruckman, Bruce Pringle, Barry Burton, Donald T. Clarke, Cecil J. Carter, et principalement le Dr. David Otis Fuller dont des portions considérables de son œuvre excellente "Which Bible" furent traduites et adaptées à l'histoire de la Bible française. J'ai ajouté à ceux-ci un certain nombre de suppléments sur les différentes versions modernes et sur la Critique Textuelle Néologique qui les a produites.



Le but de mon travail est de présenter le problème des différentes versions de la Bible et leurs origines. L'héritage glorieux des Réformateurs français, la Bible d'Olivetan (1535) dans ses versions Martin et Ostervvald, sera contrasté avec le passé ombrageux des Bibles modernes issues de l'érudition d'une Critique Textuelle qui n'est pas sans soupçon. Des faits qui furent refusés et même dissimulés aux chrétiens francophones seront mis à jour pour la première fois. Aucun effort ne sera fait pour amadouer l'érudition humaniste avec ses fabulations qui s'opposent à l'Inspiration perpétuelle et la Préservation providentielle des Saintes-Écritures, et qui prétend avoir reconstruit le texte de la Parole de Dieu à partir de deux anciens manuscrits reconnus comme les plus défectueux et les plus corrompus, à savoir: le Codex Vaticanus et le Codex Sinaiticus. Contrairement aux pantins de la Critique Textuelle Néologique, l'auteur n'hésite pas à déclarer que la Bible Authentique, dans ses versions Martin et Ostervald, est complètement inspirée de Dieu, inébranlable et infaillible dans toutes ses parties; et que son texte fur Préservé providentiellement et uniquement dans le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et dans le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament.

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

saisir le concept du péché, d'un Dieu invisible, de la condition<br />

sérieuse de l'homme, et du besoin d'un Rédempteur divin. Mais à<br />

travers les mêmes siècles, le monde rebelle des Gentils avait descendu<br />

encore plus profondément dans la frivolité, le paganisme, et la<br />

débauche. Il vaut la peine de remarquer que Paul écrivit presque<br />

toutes ses épîtres aux Églises des Gentils à Corinthe, à Rome, à<br />

Philippes, etc. Il n’écrivit presque rien aux chrétiens Juifs sauf l'Épître<br />

aux Hébreux. Ainsi le grand fardeau de ses derniers jours fut de lier<br />

solidement les Églises des Gentils en Europe aux Églises de la Judée,<br />

et non point de lier toutes les Églises à celle de Rome. Ce fut pour<br />

assurer l'accomplissement de ce but qu'il perdit la vie.<br />

Paul fit de son mieux pour maintenir une amitié et une alliance avec<br />

l'Église de Jérusalem. Pour bien faire envers eux, il voyagea à<br />

Jérusalem chaque fois que des nouveaux champs de mission<br />

s'ouvraient pour lui dans l'ouest. Ce fut pour ce but qu'il se soumit à<br />

plusieurs jours de restrictions dans le Temple, et ceci résulta à<br />

justifier sa détermination. Ainsi les Églises de Judée servaient de base<br />

d'opération à Paul: "En effet, frères, vous êtes devenus les imitateurs<br />

des Églises de Dieu qui, dans la Judée, sont en Jésus-Christ; et vous<br />

avez souffert, de la part de ceux de votre propre nation, les mêmes<br />

choses qu'elles de la part des Juifs" (1 Thes.2:14).<br />

Il n'indique aucunement ici que l'Église de Rome devait être le modèle<br />

sur lequel les autres Églises seraient formé, car elle ne possédait pas<br />

cette prééminence et ne l'a jamais possédée. Cet honneur appartenait<br />

aux Églises de la Judée; ce fut selon elles et non l'Église de Rome que<br />

127

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!