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La Bible Authentique, quelle version ?

Cet ouvrage, malgré sa simplicité, cherche à combler le manque évident de documentations en langue française sur le danger de la multiplication des versions modernes de la Bible, et sur la confusion apparente qui en suit. "La Bible Authentique: Quelle Version?" provient de différentes sections des livres des grands champions, défenseurs du Texte Reçu, comme: Edward F. Hills, Wilbur N. Pickering, Peter S. Ruckman, Bruce Pringle, Barry Burton, Donald T. Clarke, Cecil J. Carter, et principalement le Dr. David Otis Fuller dont des portions considérables de son œuvre excellente "Which Bible" furent traduites et adaptées à l'histoire de la Bible française. J'ai ajouté à ceux-ci un certain nombre de suppléments sur les différentes versions modernes et sur la Critique Textuelle Néologique qui les a produites. Le but de mon travail est de présenter le problème des différentes versions de la Bible et leurs origines. L'héritage glorieux des Réformateurs français, la Bible d'Olivetan (1535) dans ses versions Martin et Ostervvald, sera contrasté avec le passé ombrageux des Bibles modernes issues de l'érudition d'une Critique Textuelle qui n'est pas sans soupçon. Des faits qui furent refusés et même dissimulés aux chrétiens francophones seront mis à jour pour la première fois. Aucun effort ne sera fait pour amadouer l'érudition humaniste avec ses fabulations qui s'opposent à l'Inspiration perpétuelle et la Préservation providentielle des Saintes-Écritures, et qui prétend avoir reconstruit le texte de la Parole de Dieu à partir de deux anciens manuscrits reconnus comme les plus défectueux et les plus corrompus, à savoir: le Codex Vaticanus et le Codex Sinaiticus. Contrairement aux pantins de la Critique Textuelle Néologique, l'auteur n'hésite pas à déclarer que la Bible Authentique, dans ses versions Martin et Ostervald, est complètement inspirée de Dieu, inébranlable et infaillible dans toutes ses parties; et que son texte fur Préservé providentiellement et uniquement dans le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et dans le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament.

Cet ouvrage, malgré sa simplicité, cherche à combler le manque évident de documentations en langue française sur le danger de la multiplication des versions modernes de la Bible, et sur la confusion apparente qui en suit. "La Bible Authentique: Quelle Version?" provient de différentes sections des livres des grands champions, défenseurs du Texte Reçu, comme: Edward F. Hills, Wilbur N. Pickering, Peter S. Ruckman, Bruce Pringle, Barry Burton, Donald T. Clarke, Cecil J. Carter, et principalement le Dr. David Otis Fuller dont des portions considérables de son œuvre excellente "Which Bible" furent traduites et adaptées à l'histoire de la Bible française. J'ai ajouté à ceux-ci un certain nombre de suppléments sur les différentes versions modernes et sur la Critique Textuelle Néologique qui les a produites.



Le but de mon travail est de présenter le problème des différentes versions de la Bible et leurs origines. L'héritage glorieux des Réformateurs français, la Bible d'Olivetan (1535) dans ses versions Martin et Ostervvald, sera contrasté avec le passé ombrageux des Bibles modernes issues de l'érudition d'une Critique Textuelle qui n'est pas sans soupçon. Des faits qui furent refusés et même dissimulés aux chrétiens francophones seront mis à jour pour la première fois. Aucun effort ne sera fait pour amadouer l'érudition humaniste avec ses fabulations qui s'opposent à l'Inspiration perpétuelle et la Préservation providentielle des Saintes-Écritures, et qui prétend avoir reconstruit le texte de la Parole de Dieu à partir de deux anciens manuscrits reconnus comme les plus défectueux et les plus corrompus, à savoir: le Codex Vaticanus et le Codex Sinaiticus. Contrairement aux pantins de la Critique Textuelle Néologique, l'auteur n'hésite pas à déclarer que la Bible Authentique, dans ses versions Martin et Ostervald, est complètement inspirée de Dieu, inébranlable et infaillible dans toutes ses parties; et que son texte fur Préservé providentiellement et uniquement dans le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et dans le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament.

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furent très bien connues, non seulement aux traducteurs de la King<br />

James, mais aussi à Érasme de Rotterdam et conséquemment à<br />

Lefèvre d'Étaples et à Olivetan d'où nous avons la <strong>Bible</strong> de l'Épée, la<br />

Genève, la Martin, et l'Ostervald. Un des ennemis du Texte Reçu,<br />

Alexandre Souter (The Text and Canon of the New Testament), nous<br />

fait remarquer que le Codex Vaticanus se trouvait dans la<br />

bibliothèque du Vatican depuis l'an 1481. Bruce citant Sir Fredrick<br />

Kenyan, mentionne qu'Érasme recevait d'un de ses collègues à<br />

Rome, des lectures du Vaticanus qu'il rejeta, les considérant<br />

comme fallacieuses. En plus, nous sommes dits par Ottley dans son<br />

"Manuel de la Septante", que l'Ancien Testament du Vaticanus fut<br />

imprimé vers l'an 1587 par le pape Sixte-Quint, qui publia aussi une<br />

édition officielle de la Vulgate <strong>La</strong>tine revue sur cet ancien Codex<br />

défectueux: "<strong>La</strong> troisième grande édition, connue comme "la<br />

Sixtine", fut publié à Rome en 1587 sous le pape Sixte V...<br />

Substantiellement, la Sixtine donne le texte de "B" (Vaticanus)... Elle<br />

servit de base à la plupart des éditions de la Septante (LXX) pour<br />

trois siècles". Remarquons encore une autre fois qu’il n’y a aucune<br />

différence entre la Septante, le Vaticanus, et le Sinaiticus, ils sont<br />

tous le même texte qui provient de l’Hexaple d’Origène d’Alexandrie.<br />

Bissell nous informe dans son «Origine Historique de la <strong>Bible</strong>», que si<br />

Érasme l'aurait voulu, il aurait pu obtenir une copie de ce<br />

manuscrit. Mais ceci ne fut toutefois pas nécessaire, car Érasme<br />

entretenait une correspondance avec le professeur Paulus Bombasius<br />

à Rome, qui lui faisait parvenir autant de lectures variées qu'il<br />

désirait. Kenyan nous indique, "qu'en 1533, Érasme reçut une<br />

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