[L'Assassin Royal 3]La nef du crépuscule

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Les gardes m’avaient presque amené à la porte quand le roi parla. Sa voix n’était pas forte mais l’autorité y perçait. « Arrêtez-vous », ordonna-t-il aux gardes ; toujours allongé sur son lit, il tourna le visage vers Royal. « Finebaie est assiégée, dit-il fermement. Il faut envoyer du secours. » Royal secoua la tête d’un air navré. « Ce n’est encore qu’une fredaine du Bâtard pour vous bouleverser et vous voler votre sommeil. Nous n’avons reçu aucun appel à l’aide, aucun message d’aucune sorte. » L’un des gardes me tenait d’une façon toute professionnelle, l’autre semblait vouloir absolument me démettre l’épaule, bien que je me retinsse de me débattre contre lui. Je mémorisai soigneusement ses traits tout en m’efforçant de ne pas manifester ma douleur. « Vous n’auriez pas dû vous déranger, Royal ; je découvrirai la vérité ou le mensonge que recouvre cette affaire. » La reine Kettricken avait pris le temps de se vêtir d’une veste courte en fourrure blanche, de chausses et de bottes violettes, et de ceindre sa longue épée montagnarde ; Burrich s’encadrait dans le chambranle de la porte, à la main un manteau de monte à lourd capuchon et des gants. Kettricken poursuivit du ton dont on s’adresse à un enfant gâté : « Retournez auprès de vos invités. Je pars pour Finebaie. ŕ Je vous l’interdis ! » La voix de Royal retentit avec une singulière stridence et un profond silence s’abattit dans la pièce. La reine Kettricken releva ce que chaque personne présente savait déjà : « Un prince n’a rien à interdire à la reine-servante. Je pars cette nuit. » Royal devint cramoisi. « C’est un coup monté, un complot du Bâtard pour mettre Castelcerf sens dessus dessous et instiller la peur au peuple ! Personne ne nous a prévenu d’une attaque contre Finebaie. ŕ Silence ! » jeta le roi. Chacun se pétrifia. « FitzChevalerie ? Sacrebleu, mais lâchez-le donc ! FitzChevalerie, viens devant moi et rends-moi compte. D’où tiens-tu cette nouvelle ? » Je rajustai mon pourpoint et lissai mes cheveux ; tout en m’approchant de mon souverain, j’avais péniblement - 206 -
conscience de mes pieds nus et de ma coiffure ébouriffée mais je respirai profondément et chassai ces détails de mon esprit. « Pendant mon sommeil, j’ai eu une vision, sire, une vision du Grêlé en train de lire l’avenir dans un bassin plein d’eau ; il m’a montré les Pirates rouges à Finebaie. » Je n’avais osé insister sur aucun des mots que j’avais employés. Je soutins le regard de l’assistance. Un des gardes émit un grognement d’incrédulité. Burrich me dévisageait, bouche bée, les yeux écarquillés, Kettricken paraissait simplement perplexe. Sur le lit, le roi Subtil ferma les yeux et soupira lentement. « Il est ivre, déclara Royal. Emmenez-le. » Jamais je n’avais entendu pareille satisfaction dans sa voix ; ses gardes avancèrent vivement pour me saisir. « Fais... (le roi prit une longue inspiration, manifestement en lutte contre la souffrance) comme je l’ai ordonné. » Il retrouva quelque vigueur. « Comme je l’ai ordonné. Va, maintenant. TOUT DE SUITE ! » Je me dégageai de la poigne des gardes abasourdis. « Oui, Votre Majesté », répondis-je dans le silence. Je parlai clairement afin d’être entendu de tous. « Vous ordonnez donc qu’on envoie tous les navires de combat à Finebaie, ainsi que tous les bateaux de pêche que l’on pourra réunir ; et qu’on expédie tous les chevaux disponibles par la terre, sous le commandement de Kerf. ŕ Oui » confirma le roi dans un soupir. Il avala sa salive, inspira et ouvrit les yeux. « Oui, je l’ordonne. A présent, va. ŕ Un peu de vin, mon suzerain ? » Le fou s’était matérialisé de l’autre côté du lit. Je fus le seul à tressaillir à son apparition, ce qui lui fit monter aux lèvres un sourire entendu. Puis il se pencha sur le roi pour lui soulever la tête et l’aider à boire. Je m’inclinai profondément devant mon roi, puis je me redressai et m’apprêtai à quitter la pièce. « Vous pouvez accompagner ma garde, si vous le désirez », me dit Kettricken. Royal vira au rouge pivoine. « Le roi ne vous a pas ordonné de partir ! fît-il en postillonnant. - 207 -
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seuls, le Prince et moi. Il travail
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Le nouveau bateau sentait encore la
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Enfin, vers la fin de l’hiver, l
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duc préfère ne pas autoriser une
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J’avais donc laissé de côté to
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A l’île de l’Andouiller. Ils s
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Castelcerf, comme si cela pouvait l
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mais je ne me rappelle pas non plus
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part, je ne ressentis que du soulag
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ŕ J’essaierai », fis-je à mi-v
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navire : Vérité avait perçu un P
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sautèrent de leur bateau sur le n
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s’échapper. Il fallut des jours
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Une nuit, je la trouvai les cheveux
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tempêtes ne sont jamais loin derri
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Je rendis les rouleaux à Subtil. A
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puis inspira de nouveau la Fumée,
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Œil-de-Nuit me parla aussitôt. To
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après quoi elle s’employa et ré
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ŕ C’est impossible ! » m’excl
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ŕ Autrefois, il a été très jeun
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ŕ Tu t’excuses d’y avoir coup
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santé. La reine en personne accroc
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grossière : elle était simplement
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détourna pour contempler la mer, s
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pris de vertige sous le coup de sa
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pas chez nous, pourtant nous vivons
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ŕ Je vous demande pardon. J’ai p
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ici aujourd’hui et il m’a parl
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4. MESSAGES Le roi-servant Vérité
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En sa présence, elle rayonnait com
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l’importance de son expédition.
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à rester tout seul si longtemps da
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J’espérai en vain une réaction
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Il eut l’air incrédule. « On ne
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ŕ Vous m’appelez si rarement, et
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dise, tout semblait aller de traver
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à l’aide fussent restés lettre
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mis à chauffer, puis j’allumai l
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m’annoncer. Le vertige me saisit
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efficace de barrer ma porte, si j
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ŕ Je ne peux pas quitter Castelcer
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Royal se faisait discret ; chaque f
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et déclara simplement : « Nous n
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en train de faire à Célérité ?
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calmement, et soudain c’est arriv
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ŕ Tu veux bien y aller ? ŕ Qu’a
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la possibilité de parler. Par bonh
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l’argument que le fou y opposait.
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interrompu ; à croire qu’il lui
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tout droit jusqu’à la porte de M
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longtemps, il est bien rare que je
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Umbre s’assit dans son fauteuil e
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alors que la moitié des meubles s
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c’étaient vraiment des crétins,
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ŕ Tu n’es pas au courant ? Dans
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n’avais guère accordé d’atten
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12. CONSPIRATION Le Grêlé à ta f
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de mon enfant comme s’il était m
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Un silence, puis : « Personne n’
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descendait les marches raides alors
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deux marches. « Adieu, le Nouveau.
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Au bout d’un moment, je me souvin
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ŕ Tu ne sais pas de quoi tu parles
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circonstances, c’est vivre normal
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Mais avant que je m’en aille, ser
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Il lui fallut un petit moment pour
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sont loin, ma reine, et le climat d
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hommes à soudoyer et de savoir à
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faudra que tu trouves encore une fo
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Son rire me suivit dans l’escalie
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que j’avais à lui dire sans m’
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Je sortis et descendis l’escalier
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maîtriser : combien y aurait-il de
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Je ferai ce que je puis, lui dis-je
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L’espace d’un instant, Justin r
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m’invita à m’asseoir et, gên
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seraient prêts à vous soutenir ;
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m’avaient vu grandir, d’autres
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un homme ou une femme cherche à te
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murmura-t-il, que Cerf tiendra, et
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quelques instants pour lui dire ce
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et il est humilié de devoir se sau
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Mais toutes ses manœuvres politiqu
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Après avoir renoncé à artiser, j
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Enfin Royal fit son apparition, res
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demanda d’un air dégagé si je p
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tant soit peu en l’amour que j’
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ainsi sur le feu, les flammes danse
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egretter, plus rien qui me retienne
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moi et je sus que c’étaient mes
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l’imperceptible frottement de la
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lame sera l’instrument de votre v
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jetai le cadavre agité de convulsi
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15. CACHOTS Si un maître chien sou
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d’œil à ses blessures ? Vous po
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tendue. Il n’y avait pas que des
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puisse les attraper et je résistai
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point absorbé que je ne l’avais
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épartissait plus en jours et en nu
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grave accusation que vous portez l
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faire pendre. Pour les autres... il
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ma mort prochaine s’engouffra de
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veux plus penser à toi. Non. » El
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apeuré, et je l’observai à mon
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16. TORTURE Mais la princesse Volon
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encore entre les murs du Château ?
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Je souris. Il l’a fait une fois e
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couloir : je ne vis personne ; je n
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longtemps sous la torture si on se
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ŕ Pêne, j’avais dit de ne pas l
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trouvait là elle aussi ; j’en pl
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peut faire, de toute façon ? C’e
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exaspérés qui les escortaient dan
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enveloppée de sa feuille et la fix
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C’est grâce à sa science des si
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Je pris brusquement ma décision :
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« Fichtre, regardez-le donc. Crois
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« Ce sont Sereine et Justin qui on
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longtemps. Cet homme avait les yeux
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ma patte tandis que je la mordillai
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pour être bon chasseur, bon compag
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Il saute dans le trou qu’il a fai
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Je n’ai aucun souvenir du cimeti
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accepté le seigneur Brillant comme
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