[L'Assassin Royal 3]La nef du crépuscule

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ŕ Vous plaisantez ! ŕ Demain soir, répondit-il. Il faut agir avant demain soir, car, à ce moment-là, le soporifique que j’ai donné à Subtil cessera de faire effet. Rien ne sera tenté contre la reine avant son départ pour Gué-de-Négoce, sans doute ; mais une fois que Royal la tiendra en son pouvoir, tant de choses peuvent arriver : une chute du pont glissant d’une péniche dans l’eau glacée du fleuve, un cheval qui s’emballe, un plat de viande malsaine... Si son assassin est moitié moins doué que nous, il réussira. ŕ L’assassin de Royal ? » Umbre posa sur moi un regard apitoyé. « Tu n’imagines tout de même pas notre prince en train d’enduire lui-même un escalier de graisse et de noir de fumée. De qui crois-tu qu’il s’agisse ? ŕ De Sereine. » Son nom m’était venu aussitôt. « Alors, ce n’est évidemment pas elle. Non, nous nous apercevrons qu’il s’agit d’un petit homme discret aux manières affables et à l’existence tranquille Ŕ si nous découvrons un jour qui c’est. Enfin, n’y pensons plus pour l’instant ! Quoiqu’il n’y ait rien de plus passionnant que de chercher à démasquer un autre assassin. ŕ Guillot, fis-je à mi-voix. ŕ Pardon ? » Je lui exposai rapidement ce que je savais de Guillot et ses yeux allèrent s’agrandissant. « Ce serait un coup de génie ! s’exclama-t-il, admiratif. Un assassin artiseur ! Etonnant que personne n’y ait jamais pensé. ŕ Si, Subtil, peut-être, dis-je. Mais son assassin aurait échoué à apprendre... » Umbre se laissa aller contre le dossier de son fauteuil. « Je n’en suis pas sûr, fit-il d’un ton pensif. Subtil est assez retors pour avoir eu une idée pareille sans m’en faire part, même à moi. Mais ça m’étonnerait que Guillot soit davantage qu’un espion, pour l’instant Ŕ redoutable, c’est évident, et tu dois te montrer exceptionnellement vigilant Ŕ, mais je ne crois pas qu’il faille craindre en lui un assassin. » Il s’éclaircit la gorge. « En tout cas, il est de plus en plus évident qu’il faut faire vite. L’évasion devra s’effectuer depuis les appartements royaux ; il - 300 -
faudra que tu trouves encore une fois un moyen pour détourner l’attention des gardes. ŕ Pendant la cérémonie d’intronisation... ŕ Non. Nous ne pouvons pas attendre si longtemps. Demain soir, pas plus tard. Tu n’auras pas à les distraire longtemps : quelques minutes me suffiront. ŕ Il faut attendre ! Sinon, votre plan est irréalisable. Vous voudriez que je fasse se préparer la reine et Burrich d’ici demain soir, par conséquent il faudrait que je les mette au courant de votre existence ; et Burrich devrait s’occuper de trouver des chevaux et des vivres... ŕ Des canassons quelconques, pas des montures de qualité : on les remarquerait trop. Et une litière pour le roi. ŕ Des haridelles, il y en a en quantité, car il ne reste plus rien d’autre ; mais Burrich va l’avoir en travers de la gorge d’obliger son roi et sa reine à monter dessus. ŕ Et un mulet pour lui-même. Ils doivent passer pour des gens humbles qui ont à peine de quoi se rendre dans l’Intérieur ; je n’ai pas envie qu’ils attirent les voleurs de grand chemin. » Je frémis en songeant à Burrich à califourchon sur un mulet. « Ça ne marchera pas, murmurai-je. Le délai est trop court ; il faut agir le soir de la cérémonie : tout le monde sera en bas pour le banquet. ŕ Ce qui doit être fait peut être fait », affirma Umbre, puis il demeura un moment pensif. « Mais ton argument n’est peutêtre pas faux : il faut que le roi soit en bon état pour la cérémonie ; s’il n’y assiste pas, aucun des ducs côtiers ne donnera créance à l’intronisation de Royal ; il sera donc obligé de lui fournir ses herbes, pour le garder malléable à défaut d’autre chose. D’accord : après-demain soir ; si tu dois absolument me contacter demain, jette un peu d’écorce amère dans ton feu ; pas trop, je n’ai pas envie de me faire enfumer, mais une bonne poignée. Je t’ouvrirai. » Une pensée me vint soudain. « Le fou voudra accompagner le roi. ŕ Impossible, répondit Umbre d’un ton sans réplique. On ne peut pas le déguiser, sa présence ne ferait qu’augmenter les - 301 -
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seuls, le Prince et moi. Il travail
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échanger des plaisanteries avec eu
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Le nouveau bateau sentait encore la
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Enfin, vers la fin de l’hiver, l
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duc préfère ne pas autoriser une
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avec la même appréhension et la m
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J’avais donc laissé de côté to
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Castelcerf, comme si cela pouvait l
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mais je ne me rappelle pas non plus
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part, je ne ressentis que du soulag
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ŕ J’essaierai », fis-je à mi-v
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navire : Vérité avait perçu un P
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sautèrent de leur bateau sur le n
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s’échapper. Il fallut des jours
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Une nuit, je la trouvai les cheveux
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tempêtes ne sont jamais loin derri
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Je rendis les rouleaux à Subtil. A
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puis inspira de nouveau la Fumée,
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Œil-de-Nuit me parla aussitôt. To
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après quoi elle s’employa et ré
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ŕ C’est impossible ! » m’excl
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ŕ Autrefois, il a été très jeun
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ŕ Tu t’excuses d’y avoir coup
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santé. La reine en personne accroc
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grossière : elle était simplement
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détourna pour contempler la mer, s
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pris de vertige sous le coup de sa
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pas chez nous, pourtant nous vivons
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le courage de me détourner d’ell
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ŕ Je vous demande pardon. J’ai p
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avait offerts et ses longs cheveux
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vu. Il se redressa pour nous faire
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ici aujourd’hui et il m’a parl
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ŕ Mais pourquoi ? s’exclama ce d
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tu gardes en mémoire toutes les pa
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4. MESSAGES Le roi-servant Vérité
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En sa présence, elle rayonnait com
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l’importance de son expédition.
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à rester tout seul si longtemps da
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lui aussi, et prévenir Sereine. Co
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en laine bleu pastel. Je repris mon
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« C’est pour cela qu’il vous a
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tous les jours. Mais ils ne m’ont
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Lance récupéra son document d’u
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Je me promis de poser la question
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tabouret pour prendre place aux pie
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« J’irai voir le roi aussi. Je v
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« Le nom de Kebal Paincru était i
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J’espérai en vain une réaction
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ces jours-ci ! Un beau paradoxe pou
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Il eut l’air incrédule. « On ne
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ŕ Vous m’appelez si rarement, et
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dise, tout semblait aller de traver
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à l’aide fussent restés lettre
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Je me morfondais de ne pas savoir c
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mis à chauffer, puis j’allumai l
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m’annoncer. Le vertige me saisit
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efficace de barrer ma porte, si j
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disparu de sa voix, remplacée par
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ŕ Je ne peux pas quitter Castelcer
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Royal se faisait discret ; chaque f
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et déclara simplement : « Nous n
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savais que la froideur dont elle fa
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sous prétexte de les servir. Ils
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cadette, Célérité, a été quelq
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en train de faire à Célérité ?
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instant, je distinguai Vérité qui
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calmement, et soudain c’est arriv
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ŕ Tu veux bien y aller ? ŕ Qu’a
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était en son pouvoir pour mainteni
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ŕ Eh bien, quelles que soient vos
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l’oreille : il devait être très
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Il hocha la tête et je poussai un
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le gêner ; quant aux duchés côti
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doit pas nous inquiéter outre mesu
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Il regarda les garçons d’écurie
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et acre de Fumée, et plusieurs pet
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Bien droit, il parlait d’une voix
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quelqu’un lui apporter de quoi ma
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frémissement. Très doucement, ell
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plaie n’était plus aussi laide q
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ŕ Mais il faut dormir ! fit Brodet
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trop bien retranchés. Navires et g
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disposer des plats sur une petite t
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Je n’eus pas besoin de lui demand
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J’obéis et je l’aidai à endui
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Sa flèche avait frappé dans le mi
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descendre en ville rendre visite au
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les cheveux qui lui tombaient sur l
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ŕ Je ne sais pas exactement. Il y
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9. FINEBAIE Dans la tradition des S
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s’en occupait désormais avec l
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Comme moi, les habitants du bourg a
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où le Grêlé voyait ce qui allait
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qu’ils se mettent en route cette
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conscience de mes pieds nus et de m
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ŕ Halte ! » s’exclama-t-il d’
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je m’entourais. Burrich ne dit ri
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coulées qui s’étendaient le lon
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Kerf et Gantelée approuvèrent de
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fondîmes sur les bateaux pirates.
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ares bâtiments encore debout de Fi
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Le regard de Gantelée se perdit da
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l’avait effarouché et je vis les
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ŕ Ce n’est pas leur façon de fa
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« Nous avons tous deux beaucoup ch
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ŕ Qu’on voie un loup dans tes pa
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Comme un rideau qui se sépare, la
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Parfois, il me traitait presque com
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ŕ Le roi Subtil, peut-être, sugg
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pour frotter des épices sur un cui
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« Ah ! Celle-là ! » Le ton déda
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ŕ T’est-il donc indifférent que
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Mais la vie qui lui reste pourrait
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que celle du fou. J’étais si hab
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paraissait se ratatiner sur elle-m
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15. CACHOTS Si un maître chien sou
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tendue. Il n’y avait pas que des
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épartissait plus en jours et en nu
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faire pendre. Pour les autres... il
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ma mort prochaine s’engouffra de
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veux plus penser à toi. Non. » El
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apeuré, et je l’observai à mon
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16. TORTURE Mais la princesse Volon
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Je souris. Il l’a fait une fois e
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couloir : je ne vis personne ; je n
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longtemps sous la torture si on se
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ŕ Pêne, j’avais dit de ne pas l
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trouvait là elle aussi ; j’en pl
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peut faire, de toute façon ? C’e
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exaspérés qui les escortaient dan
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enveloppée de sa feuille et la fix
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Je pris brusquement ma décision :
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« Fichtre, regardez-le donc. Crois
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longtemps. Cet homme avait les yeux
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ma patte tandis que je la mordillai
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accepté le seigneur Brillant comme
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