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C'est une troisième piste de recherche, qui part du constat que dans la même région, il y a souvent des disparités importantes entre le nombre de licenciés par département. Cette remarque avait déjà été faite par LIMAGNE (1985).
2.6.2.A - Les données brutes : En valeur absolue, les départements où il y a le plus de spéléologues en 1992 sont : l'Hérault (319), les Bouches du Rhône (313), le Gard (294), le Rhône (278), le Doubs (266) et la Seine (241). La Creuse, les Côtes d'Armor, le Finistère, le Morbihan et l'Orne n'ont aucun li- cencié FFS, et 9 autres départements en ont moins de 10. Par rapport à l'étude de LIMAGNE (1985), remarquons de grandes similitudes, même si les Bouches du Rhône et le Doubs rem- placent dans le peloton de tête la Haute Garonne. L'implantation de la spéléologie est particu- lièrement difficile en Bretagne, et d'une façon générale loin des grottes (Massif Central). En revanche, la concentration urbaine compte autant que la proximité des cavités : Paris, Lyon et Marseille ont peu de grottes et beaucoup de spéléologues. Une représentation graphique de la population spéléologique par département est jointe (Annexe 3 - 1, p. 234-235), à celle qu'avait proposé R. LIMAGNE en 1985. On peut avoir ainsi une petite idée d'une dimension ignorée jusqu'ici, faute de moyens, la dimension historique, en comparant des données qui ont 8 ans d'écart. Celle-ci doit pourtant avoir son importance pour expliquer l'implantation locale de tel ou tel club ou structure. Ainsi R. LIMAGNE (1985) a calculé le nombre de spéléologues pour 10 000 habitants. Le même calcul, refait, donne les résultats suivants, après classement selon un ordre décroissant : 1° le Lot (46), avec 14,68 spéléologues pour 10.000 habitants 2° la Lozère (48) ...................................... 10,5 3° l'Ariège (9) ........................................... 6,93 4° l'Aveyron (12) ...................................... 6,48 5° le Doubs (25) ...................................... 5,48 6° le Jura (39)5, ....................................... 10 7° le Gard (30) ......................................... 5,03 8° l'Ardèche (7) ........................................ 4,68 9° la Dordogne (24) ................................. 4,08 Pour de plus amples détails, le lecteur pourra se reporter aux cartes jointes (annexe 3 - 2, p. 236-237), avec les résultats de 1985 et ceux de 1993. Ce traitement statistique simple met en évidence le lien entre la population spéléologique et une certaine ruralité, car bon nombre des grands sites spéléologiques appartiennent à des départements ruraux peu peuplés. Le rapport licenciés FFS/population totale place en tête des départements français 3 parmi les moins peuplés ; avec 160 000 habitants au maximum, ils sont à la limite (ou en-dessous) de la moyenne de population totale des départements moins l'écart-type de cette distribution (m-),
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REMERCIEMENTS Nous voudrions remerc
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2.2.3. - ETAPE 3 Elle commence lors
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2.2.4.1 - les pratiques de recherch
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1.1.2.2.2 - Les aptitudes cognitive
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peut conjecturer en revanche que l'
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1.4.3 - Les moyens d'orientation de
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faire), le stress lié à un enviro
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