etude des aptitudes, des motivations, des profils socio ... - snpsc

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cution. Toutes les APS sont réalisées avec des prescriptions de cette nature, tout du moins à partir d'un certain niveau de complexité. Les réalisations par "insight", c'est-à-dire par dé- couverte intuitive brusque et souvent rapide de la solution, sont des cas rares. L'entraîneur sportif fournit des prescriptions, mais il doit en permanence les adapter à chaque athlète, d'autant que l'athlète doit s'adapter à elles, et ceci même dans les disciplines où les normes sont très rigoureuses, comme en athlétisme ou en gymnastique. Dans les activités de pleine nature, c'est l'adaptabilité de la norme qui prévaut. Nous insistons dans nos exemples sur la pose des agrès (équipement) et leur utilisation en spéléologie, car c'est un aspect preignant de l'activité. Mais la tâche du spéléologue ne se limite pas à cet aspect. Celui-ci doit aussi adapter des consignes techniques concernant l'escalade, d'autres concernant le franchissement d'étroitures, la progression en galerie suivant la configuration du terrain, la progression en rivière, le conditionnement et le partage du matériel, la diététique et la gestion de l'effort, etc... Dans tous les cas, l'activité du spéléologue revient à adapter pour rendre efficace, c'est-à-dire trouver un compromis entre la rapidité d'exécution, le moindre effort et la sécurité, pour l'ensemble de sa progression. 2.1.4 - L'activité : C'est ce que fait le sujet ; ce qu'on observe, sa performance. Le sujet agit en fonction du but et des procédures qu'il s'est fixées pour l'atteindre. En effet, nous avons montré plus haut que l'activité, en particulier celle du premier du groupe qui équipe la cavité, est l'adaptation concrète de normes de sécurité immanentes, ou dans la plupart des cas (grotte déjà équipée), la reproduction du cheminement intellectuel qui a présidé à cet équipement. 2.1.5 - L'analyse de la tâche : Il est toujours nécessaire de connaître la tâche prescrite pour analyser l'activité. L'activité d'un sujet ne répond pas toujours aux exigences de celle-ci. L'analyse de la tâche effective du sujet permet de déterminer les écarts entre la tâche effective et la tâche prescrite. Cette analyse permet de dégager un modèle, intériorisé ou extériorisé, qui guide le sujet dans la réalisation de la tâche. Le niveau de modélisation est fonction des attentes de l'analyse et des objectifs poursuivis. L'analyse mise en place chez des débutants n'aura ni les mêmes finalités, ni le même niveau d'exigence que pour des athlètes de haut niveau. De plus, lorsque le sujet met en place une activité d'élaboration, ce qui est généralement le cas dans les activités de pleine nature, la tâche effective évolue parallèlement à la progression. Elle est en perpétuel changement. Comme le souligne FAMOSE (1988) dans son chapitre sur la détection des talents, les aptitudes qui expliquent la réussite de l'athlète de haut niveau sont rarement les mêmes que celles que met en jeu le débutant dans la même activité. On ne peut donc pas tirer di- rectement de l'analyse du haut niveau les éléments nécessaires à la détection des talents. Il
existe une configuration initiale et une configuration finale des aptitudes mises en jeu dans une activité donnée. Entre ces deux configurations, on peut supposer une évolution des aptitudes sollicitées, qui correspond aux différents stades de l'apprentissage.
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REMERCIEMENTS Nous voudrions remerc
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COMMENTAIRES TECHNIQUES La descente
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au moins le niveau 4 dans une éche
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un administrateur qui facilite la v
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EQUILIBRE CORPOREL GENERAL Définit
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COORDINATION GENERALE Définition :
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SOUPLESSE STATIQUE Définition : c'
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PARUTIONS ET COMMUNICATIONS CHAPITR
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léologie, quelques notions de budg
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speleology so far, are gradually le
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L'ancienneté est donc largement su
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Allemagne ............... Autriche
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Nous allons maintenant envisager le
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TABLEAU 9 L'âge des randonneurs p
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ural au sein de la FFS, que nous ve
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2.6 - La répartition géographique
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2.6.2.B - L'analyse statistique : N
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des données démographiques et "ph
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ayant eu le plus de personnes secou
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Nous développerons moins le cas d'
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du gouffre Berger nécessite donc d
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à proximité (régions E, F et G).
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En plus des liaisons déjà évoqu
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FF Course orientation .............
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analysées dans le tableau). Le sex
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au niveau de votre club au niveau
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2.1 - La dimension culturelle de la
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Nous soulignerons d'abord les rappo
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est au contraire tout à fait connu
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l'impression de ne pas pouvoir teni
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A notre avis, une forme de pratique
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Nous reviendrons de façon plus pr
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2.2.3. - ETAPE 3 Elle commence lors
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corde où il s'épuise. On peut ain
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2.2.4.1 - les pratiques de recherch
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3. - L'APS A DES FINS D'ENSEIGNEMEN
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la spéléologie serait une APN, ce
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3.2.2 - Quelles adaptations matéri
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1.1.2.2.2 - Les aptitudes cognitive
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Cette notion de difficulté de la t
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certainement une longue résistance
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coordonne pas ces différents espac
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1.4.3 - Les moyens d'orientation de
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GUILLAUME P. (1969)- Manuel de psyc
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SEILER R. (1990)- Decision making p
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