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(1988), et BLADES et SPENCER (1989). Nous nous centrerons donc sur les conditions génétiques du repérage spatial et sur les aspects pédagogiques du transfert d'un espace libre à un espace souterrain. Ce dernier point revient à l'étude de ce que PIAGET appelait un "décalage horizontal", le transfert au niveau cognitif étant certainement plus fondé scientifiquement que le transfert entre tâches motrices. Nous espérons ainsi dégager les éléments permettant de fonder la démarche didactique sur les connaissances psychogénétiques qui permettent de comprendre la démarche cognitive de l'enfant, suivant les recommandations de PIAGET. 100
2.1.A.1- INTRODUCTION 2. - EXPERIENCES EXPERIENCE N° 1.A DES ENFANTS DE 5-6 ANS PEUVENT-ILS S'ORIENTER EN GROTTE ? Cet article traite des performances de jeunes enfants âgés de 5-6 ans, confrontés à des tâches d'orientation spatiale. OTTOSSON (1988) soutient que de tels enfants sont capables de reconnaître au retour un trajet fait en ville, surtout si on leur fait prendre des points de repère topologiques, ce qui confirme ce qu'on sait (PIAGET, 1948) de la représentation de l'espace chez les enfants de cet âge. On a choisi cet âge, parce qu'il correspond au début des apprentissages scolaires fondamentaux (lecture, écriture), et que sur le plan du développement cognitif, il correspond au début des opérations concrètes. La présente recherche se propose de vérifier ce que sont effectivement les capacités des enfants de cette classe d'âge, en les soumettant d'abord à une tâche d'orientation sur simulateur (labyrinthe électronique). Puis on cherchera à vérifier ce que deviennent ces capacités en situation réelle de parcours urbain. Enfin, dans un dernier temps, on les observera dans une tâche équivalente en grotte. 2.1.A.2 - PROBLEMATIQUE L'objectif principal de la recherche est de vérifier, dans le contexte des activités souterraines (JOVIGNOT 1991), ce que sont capables de réaliser des enfants de fin d'école maternelle et du cours préparatoire en matière d'orientation spatiale. Il règne sur le sujet beaucoup de préjugés, affirmant notamment que les conditions du milieu bloquent les possibilités réelles des enfants. Incapables d'actualiser leurs compétences habituelles, ils "stresseraient"... et seraient incapables de sortir seuls d'une grotte pourtant repérée. 101
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Université de Bourgogne UFR.STAPS
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REMERCIEMENTS Nous voudrions remerc
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SOMMAIRE Introduction générale ..
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3. - Méthodologie 2.1.5 - L'analys
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2.1.B.3. - Tâche et consignes ....
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centre de la terre", le Ministère
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ibliographie ; ce travail est en ef
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ses recommandations pour une pédag
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PLAN SIMPLIFIE Le cadre (caractéri
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spare time activities, sports spele
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attaquées par les acides qu'elle t
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la pluviométrie, car un plus grand
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ELEMENTS DE TERMINOLOGIE EN KARSTOL
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1.2 - Les difficultés techniques d
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COMMENTAIRES TECHNIQUES La descente
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Les aptitudes mises en jeu dans ces
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1.2.7 Les accidents Pour conclure c
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licenciés FFS était d'environ 800
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(voir la deuxième partie de ce cha
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Dans les réponses au questionnaire
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Une définition précise du sport,
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léologues. Ils ont fait passer à
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Par régression fantasmatique, ces
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- le héros épique, l'homme exempl
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mort, il descend aux Enfers. De plu
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CONCLUSION Nous pouvons souligner l
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plafond s'effondre brusquement). Un
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2.2 - Les démarches scientifiques
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Il existe même une branche de la m
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2.3 - Les pratiques de loisir Elles
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2.5 - La démarche pédagogique (vo
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secours sous terre demande de gros
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- sur l'engagement des membres comm
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chez le pratiquant. Pour cela, nous
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PLAN SIMPLIFIE Introduction Revue d
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- Basic aptitudes : understanding o
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notion d'activité renvoie, elle,
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En spéléologie comme dans les aut
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existe une configuration initiale e
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cette étude, par l'intermédiaire
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2.3 - Le modèle taxonomique de Fle
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Tableau 3
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D'autre part, la connaissance des a
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C'est donc avec M. MEYSONNIER, Cons
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interviewées, présentée sur un h
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DEFINITION 4.3 - Analyse pour chacu
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DEFINITION cats RESULTATS 4.3.2 - L
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DEFINITION 4.3.3 - LA COORDINATION
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DEFINITION 4.3.4 - L'EQUILIBRE CORP
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DEFINITION 4.3.6. - LA FORCE DYNAMI
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4.3.12 - CONNAISSANCE DU MATERIEL E
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au moins le niveau 4 dans une éche
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un administrateur qui facilite la v
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7.4.2 - Etude de cas n° 2 Nous avo
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8. - CONCLUSION Notre travail sur l
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Définition : 6.7 Le plaisir de pra
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Requiert une activité physique de
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Exige une faible utilisation de la
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EQUILIBRE CORPOREL GENERAL Définit
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COORDINATION GENERALE Définition :
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SOUPLESSE STATIQUE Définition : c'
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ANNEXE 2 : LES APTITUDES MISES EN J
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PARUTIONS ET COMMUNICATIONS CHAPITR
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léologie, quelques notions de budg
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speleology so far, are gradually le
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1. - METHODES DE RECUEIL DES DONNEE
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communiqués par P. BRUNET, alors p
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L'ancienneté est donc largement su
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Allemagne ............... Autriche
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Nous allons maintenant envisager le
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TABLEAU 9 L'âge des randonneurs p
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ural au sein de la FFS, que nous ve
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2.6 - La répartition géographique
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spéléologues, il y a des régions
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Cela permet de définir 3 classes d
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2.6.2.B - L'analyse statistique : N
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des données démographiques et "ph
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général, toutes disciplines confo
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ayant eu le plus de personnes secou
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Nous développerons moins le cas d'
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du gouffre Berger nécessite donc d
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à proximité (régions E, F et G).
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Non réponse (2%) Plus d'une sortie
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En plus des liaisons déjà évoqu
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moment spécifique à la spéléolo
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FF Course orientation .............
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analysées dans le tableau). Le sex
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ANNEXE 3 : 1 - Comparaison du nombr
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ANNEXE 3 : 2. Comparaison du rappor
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ANNEXE 4 : ANALYSE EN COMPOSANTES P
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ANNEXE 4 : tableau 26 (suite) REGIO
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ANNEXE 4 : Tableau 27 MATRICE DES D
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au niveau de votre club au niveau
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PARUTIONS ET COMMUNICATIONS - JOVIG
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Nous soulignerons d'abord les rappo
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(1964) ("l'aptitude est une caract
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Nous reviendrons de façon plus pr
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