[L'Assassin Royal 2]L'assassin du roi

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espiration et levai ma hache. « Recommençons », dis-je à Burrich. Comme il avançait sur moi, je ne lui permis plus d’être Burrich : c’était un homme armé d’une hache venu assassiner Vérité, et, avant que je puisse interrompre mon geste, je l’étendis au sol. Il se releva en secouant la tête et je décelai un soupçon de colère dans ses traits. Nous nous affrontâmes à nouveau et à nouveau je lui assenai un coup bien placé. « T<strong>roi</strong>sième reprise », fit-il et un sourire carnassier illumina son visage buriné. Nous nous mesurâmes encore une fois, animés par l’allégresse de la lutte, et je le surclassai sans discussion. Deux autres fois nous nous battîmes avant que Burrich ne recule soudain en esquivant mon coup. Il appuya sa hache au sol et reprit son souffle, le dos voûté, les bras c<strong>roi</strong>sés sur le manche de l’arme. Puis il rectifia sa position et regarda Vérité. « Ça y est, dit-il d’une voix rauque. Il a attrapé le truc. Il n’est pas complètement débourré et il s’affûtera avec de l’exercice, mais vous avez fait le bon choix pour lui. La hache est son arme. » Vérité hocha lentement la tête. « Et mon arme, c’est lui. » - 362 -
Table des matières PROLOGUE. RÊVES ET RÉVEILS .................................... 4 1. VASEBAIE ................................................................... 23 2. LE RETOUR................................................................ 41 3. RETROUVAILLES ...................................................... 58 4. DILEMMES ................................................................ 85 5. MANŒUVRE ............................................................. 113 6. LES FORGISÉS ......................................................... 143 7. RENCONTRES ...........................................................153 8. LA REINE S’ÉVEILLE .............................................. 178 9. GARDES ET LIENS ..................................................200 10. LA MISSION DU FOU............................................. 222 11. LOUPS SOLITAIRES ............................................... 242 12. MISSIONS ............................................................... 266 13. CHASSE .................................................................. 293 14. LA FÊTE DE L’HIVER ............................................. 316 15. SECRETS ................................................................. 342 - 363 -
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ajoute que ceux qui pratiquaient le
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cœur se serre à l’idée du prix
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comprit que je l’aimais avant mê
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long voyage de retour vers les Six-
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Ils faisaient tous deux montre d’
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Burrich sursauta comme si je l’av
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c’était pour avoir un jour déto
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son épouse. Craignais-je le sourir
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qu’homme lige du roi, c’est de
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1. VASEBAIE Etre roi-servant ou rei
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Le fou aurait dû se trouver à Cas
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Castelcerf ! Et Burrich n’avait m
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hardis comme des mouettes, et s’
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cœur pouvait se détourner de cett
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l’obscurité, la lumière des cha
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chambre et des deux hommes qui s’
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d’empoigner la logique instable d
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Laissez-moi d’abord vous remettre
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2. LE RETOUR La forteresse de Caste
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versant, les arbres qui y poussaien
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à part et me demanda brutalement :
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Le jeune homme, tout déconcerté,
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me retint de l’imiter. Notre comp
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méritait bien tous les conforts qu
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éagi. Et Pognes aussi. » Il repri
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une bête quand il prétend en êtr
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Plus loin dans le même couloir se
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savons rien de cette première renc
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estivale, à l’affût des assaill
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ŕ J’ai déjà déjeuné, répond
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d’un endroit pour mes conversatio
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combattre les résultats de la tent
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tous les troubles internes qui pour
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Nous étions restés enfermés tout
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Elle me prit la tablette des mains
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pourtant de réfléchir à la quest
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Des vagues de vertige me balayaient
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pas être le Bâtard ; quand j’é
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ŕ Mais je ne... » La voix me fit
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qu’il n’allait pas gaspiller so
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4. DILEMMES En ce qui concerne le V
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Je ne relevai pas le commentaire.
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elle. « Je ne suis pas le fils lé
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Elle se tut enfin. Elle n’attenda
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ŕ Je vous en prie, demandez-lui au
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grêlaient le visage et les bras co
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milieu des femmes de Castelcerf. On
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envie de mourir ; pendant des mois,
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s’agitait sans résultat, Brodett
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J’errai sans but par la ville. Ma
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sentis un tic agiter ma lèvre sup
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ŕ Oh, mais il vous ferait un bon c
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la carriole s’éloigna en grinça
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lâchai pas la nuque et lui enfonç
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5. MANŒUVRE C’est vrai, il exist
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chope de bière, tiède depuis des
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quant à ta chemise, je parie que t
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ceux où le travail ne manquait pas
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le raffut qu’il faisait ou les tr
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d’agrément, à me piquer les doi
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Oblat ne puisse traquer un vieil ou
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qu’elle se trouvait seule en terr
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efforts pour me tenir loin de Molly
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m’écartai pas et il ne me bouscu
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permettre de discuter librement. Ju
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traditions, d’un mode de vie rigo
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trouverais certains produits chez l
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j’étais friand. Ses bibliothèqu
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jamais levé les armes contre quelq
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6. LES FORGISÉS Chevalerie et Vér
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son grand cheval noir au noble port
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secret pour personne qu’elle se l
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m’ont attaqué, je ne m’en suis
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sous prétexte que le roi n’est m
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7. RENCONTRES La coutume a toujours
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Ça aussi, c’est la meute. Tu m
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Je fis un bond en l’air comme si
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« La première fois, on m’a refu
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sûrement, puisque tu en as déjà
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moins plus agréable que le sien. E
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poursuivants. Chaque matin, j’ét
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s’en trouva accélérée malgré
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cheminâmes ainsi quelque temps san
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« Je crois que mon seigneur va bea
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purée de grain tiède pour les deu
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ŕ Elle m’a dit que Pas-de-Loup a
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« Messire, il faut que je vous pos
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s’excitaient mutuellement pour la
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possible ! Et aujourd’hui je me d
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Son accent des Montagnes donnait en
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chose, je ne sais pas quoi, mais qu
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ottes et le garrot de Pas-de-Loup
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Kettricken se plaça derrière lui
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l’instinct et la grâce ! Je ne l
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ouvertement. Tiens-toi sur tes gard
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se redressa, se nettoya les moustac
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d’ouvrir mon verrou et d’entrer
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« Alors ? fit-elle pour me relance
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l’énergie qui m’emplissait me
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« Je n’en sais rien », répondi
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courrais de risques. C’est pourqu
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et je suis prêt à jurer qu’elle
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provenait de la jument elle-même e
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les intentions de la reine, je sort
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ŕ Seule ? Sait-il que vous arrivez
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Va-t’en, te dis-je ! Je t’appor
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vu, fût-ce une seule fois ; je sur
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passa sur moi à toute allure en me
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pouvons épuiser un cerf à la cour
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forte affinité avec le monarque r
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Je la regardai en essayant de la re
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qu’on pense, et on veut pas qu’
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« Apprends-lui d’abord à triche
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ŕ Ah ! Mais pas Subtil. Ni Vérit
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plutôt que de me lancer dans une b
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Umbre aurait-il fait mourir ainsi s
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jambières gris clair ; ses cheveux
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Elle redressa le buste d’un mouve
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Ce n’est pas ce que je souhaite.
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enifla le fourré, mais la densité
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maintenant calculés et précis. Le
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Je ne te dois rien et surtout pas o
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un poignard à ma ceinture. La lame
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mon cou et dont l’odeur me rendai
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secouai avant de l’endosser. Je n
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qui confinaient à la folie. Pourta
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Je fis un effort et parvins à maî
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passage. Pendant ce temps-là, nous
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attendait ; des plats étaient disp
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formation se faisait de façon disc
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Je me demandai qui en était le piv
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peut lui reprocher. Cet hiver-là m
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Le temps d’un battement de cœur,
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« C’est tout à fait charmant, n
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satisfaction, pas de la nervosité.
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me donner un peu de lumière pour c
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qu’elle m’observait sans se cac
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avec d’autres jouets. C’est Mol
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Patience hésita. « Je me le rappe
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ŕ Dans ce cas, tu ferais bien de l
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ŕ Mon oncle ? Le prince Royal ? »
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L’entendre défendre ainsi Royal
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articles avec le même aplomb qu’
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Je me penchai pour l’embrasser.
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13. CHASSE On peut enseigner l’Ar
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Matériellement, tout était tranqu
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La culpabilité m’assaillit et je
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imposer ce qu’ils doivent penser.
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toujours inspirée ne connut tout
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savourait l’air frais du matin, l
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Nous poursuivîmes notre route dans
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l’autre en arrière et enfonçai
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tendus. La terrible lumière d’es
Page 311 and 312: prince, dis-je d’un ton formalist
Page 313 and 314: Très droit, Burrich soutint le reg
Page 315 and 316: «Je lui apprendrai les quelques te
Page 317 and 318: moqueuse qu’il m’avait infligé
Page 319 and 320: son corps. La sensation m’évoqua
Page 321 and 322: dans les cuisines, qui pleurait tou
Page 323 and 324: Burrich me regarda sans répondre.
Page 325 and 326: J’allais être en retard et Burri
Page 327 and 328: ŕ Le mien. » Il détourna les yeu
Page 329 and 330: Résolument, je chassai Molly de me
Page 331 and 332: Je ne m’étais pas rendu compte q
Page 333 and 334: Il s’écarta de mon chemin avec u
Page 335 and 336: Je m’approchai des hautes fenêtr
Page 337 and 338: Subtil avait toujours été d’une
Page 339 and 340: ce alors qu’Umbre était en voyag
Page 341 and 342: Il agita la main en un vague geste
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Page 347 and 348: somptueuses qu’est faite ma trans
Page 349 and 350: jet ; vous vous distrayez aux carte
Page 351 and 352: Aucun nom dans aucune histoire, pas
Page 353 and 354: Ton esprit est plein de nuages. Tes
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Page 361: Un seul homme. Un seul homme qui s
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