199Glossaire *Accord général sur le<strong>commerce</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>ActifBalance <strong>des</strong> paiementsBiensClassification centralede pro<strong>du</strong>itsClassification<strong>international</strong>e type,par in<strong>du</strong>strie, de toutesles branches d’activitééconomiqueCompte satellite<strong>du</strong> tourismeL’Accord général sur le <strong>commerce</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong> (AGCS) est l’un <strong>des</strong> principaux accordsde l’Organisation mondiale <strong>du</strong> <strong>commerce</strong> (OMC). Premier mécanisme multilatéral pourle <strong>commerce</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>, il fournit un système d’obligations et d’engagements juridiquementcontraignants concernant le <strong>commerce</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>, qui s’applique à tous lesmembres de l’OMC. L’AGCS est entré en vigueur en janvier 1995. Il comprend : le textede l’Accord, et notamment un ensemble d’obligations générales dont un grand nombres’appliquent directement et automatiquement à tous les membres de l’OMC en ce quiconcerne la quasi-totalité <strong>des</strong> <strong>services</strong>; plusieurs annexes couvrant <strong>des</strong> secteurs spécifiques(par exemple, les <strong>services</strong> de transport aérien et les <strong>services</strong> financiers) ou <strong>des</strong>questions liées aux politiques commerciales; et les listes d’engagements spécifiques <strong>des</strong>membres, dans lesquelles sont définis les secteurs et mo<strong>des</strong> de fourniture pour lesquelsun membre a contracté <strong>des</strong> obligations en matière d’accès à ses marchés intérieurs en cequi concerne les <strong>services</strong> étrangers et les fournisseurs de <strong>services</strong> étrangers.Un actif est une réserve de valeur, dont la détention ou l’utilisation au cours d’une périodedéterminée procure à son propriétaire économique un avantage ou un ensembled’avantages. La détention d’un actif permet le report de valeur d’un exercice financier àl’exercice suivant. Les actifs peuvent être financiers ou non financiers, pro<strong>du</strong>its ou nonpro<strong>du</strong>its (SCN 2008, p. 617 et par. 3.5).La balance <strong>des</strong> paiements est un état statistique où sont résumées pour une périodedonnée les transactions économiques entre résidents et non-résidents. Elle comprendle compte <strong>des</strong> biens et <strong>des</strong> <strong>services</strong>, le compte <strong>des</strong> revenus primaires, le compte <strong>des</strong> revenussecondaires, le compte de capital et le compte financier (MBP6, p. 9, par. 2.12).Les biens sont <strong>des</strong> objets physiques pro<strong>du</strong>its pour lesquels il existe une demande, surlesquels <strong>des</strong> droits de propriété peuvent être établis et dont la propriété peut être transféréed’une unité institutionnelle à une autre par le biais d’une opération sur le marché(SCN 2008, p. 623).La Classification centrale de pro<strong>du</strong>its (CPC) constitue une classification complète de pro<strong>du</strong>itsqui couvre les biens et les <strong>services</strong>. Elle vise à offrir une norme <strong>international</strong>e permettantde rassembler et de tabuler toutes sortes de données impliquant une désignationprécise <strong>des</strong> pro<strong>du</strong>its, y compris la pro<strong>du</strong>ction in<strong>du</strong>strielle, la comptabilité nationale,l’in<strong>du</strong>strie <strong>des</strong> <strong>services</strong>, le <strong>commerce</strong> national et <strong>international</strong> <strong>des</strong> matières premières, le<strong>commerce</strong> <strong>international</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>, la balance <strong>des</strong> paiements, les <strong>statistiques</strong> relativesà la consommation et aux prix. La CPC vise aussi à fournir un cadre de référence permettant<strong>des</strong> comparaisons <strong>international</strong>es et à promouvoir l’harmonisation de divers typesde <strong>statistiques</strong> concernant les biens et les <strong>services</strong>. Le but principal de la CPC version 2est de classer les biens et les <strong>services</strong> qui résultent <strong>du</strong> processus de pro<strong>du</strong>ction danstoutes les économies. Cette version est utile pour étudier le détail <strong>des</strong> transactions concernantles biens et les <strong>services</strong> (CPC version 2).La Classification <strong>international</strong>e type, par in<strong>du</strong>strie, de toutes les branches d’activité économique(CITI) est une structure de classification cohérente et uniforme <strong>des</strong> activitéséconomiques basée sur un ensemble de concepts, définitions, principes et règles de nomenclatureapprouvé au plan <strong>international</strong>. Elle fournit un cadre complet permettant deréunir et de présenter <strong>des</strong> données économiques sous un format se prêtant à l’analyseéconomique, à la prise de décision et à l’élaboration <strong>des</strong> politiques. Cette structure declassification offre un modèle standard d’organisation d’informations détaillées sur l’étatd’une économie en fonction de principes et de concepts économiques (CITI, Rev.3.1,par. 1).Le Compte satellite <strong>du</strong> tourisme est une norme <strong>international</strong>e applicable aux <strong>statistiques</strong><strong>du</strong> tourisme qui a été élaborée afin de présenter les données économiques se rapportantau tourisme dans un cadre assurant une cohérence interne et externe avec le reste <strong>du</strong>système statistique grâce à ses liens avec le Système de comptabilité nationale (RIST2008, p. 99).* Les définitions fournies pourchacun <strong>des</strong> termes figurantdans le présent glossairecontiennent un renvoi à leursource :MBP6 : <strong>Manuel</strong> de la balance<strong>des</strong> paiements et de la positionextérieure globale, 6 e éd.,2009, Fonds monétaire<strong>international</strong>, Washington, DCCPC Version 2 : Classificationcentrale de pro<strong>du</strong>its (CPC),version 2, 2002, Nations Unies,New York.MSCIS 2002 : <strong>Manuel</strong> <strong>des</strong><strong>statistiques</strong> <strong>du</strong> <strong>commerce</strong><strong>international</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>, 2006,Nations Unies, New York.CITI, Rev 4 : Classification<strong>international</strong>e type, parin<strong>du</strong>strie, de toutes les branchesd’activité économique (CITI),Révision 4, 2008, NationsUnies, New York.RIST 2008 : Recommandations<strong>international</strong>es sur les<strong>statistiques</strong> <strong>du</strong> tourisme 2008,Madrid et New York, 2008.BD4 de l’OCDE : Définitionde référence de l’OCDE <strong>des</strong>investissements directsinternationaux, quatrièmeédition 2008, OCDE, Paris.GST de l’OCDE : OECD Glossaryof Statistical Terms, 2008,OCDE, Paris.SCN 2008 : Système decomptabilité nationale 2008,2009, Nations Unies, New York.AGCS : Accord généralsur le <strong>commerce</strong> <strong>des</strong><strong>services</strong>. Instrumentsjuridiques reprenant lesrésultats <strong>des</strong> négociationscommerciales multilatérales<strong>du</strong> Cycle d’Uruguay, adoptésà Marrakech le 15 avril 1994.Annexe IB. 1994, Organisationmondiale <strong>du</strong> <strong>commerce</strong>,Genève.Lorsqu’aucune source n’estindiquée, le présent manuelest la source de la définitionfournie.
200 <strong>Manuel</strong> <strong>des</strong> <strong>statistiques</strong> <strong>du</strong> <strong>commerce</strong> <strong>international</strong> <strong>des</strong> <strong>services</strong>, <strong>2010</strong> (MSCIS <strong>2010</strong>)Droits de voteEmploiEntités à vocationspécialeEntrepriseEntreprised’investissement directétrangerEntreprises sœursEnvois de fondspar les travailleursÉtablissementExportations de bienset de <strong>services</strong>ExternalisationFiliale étrangèreFormation brutede capital fixeGénéralement, les actions ordinaires sont assorties de droits de vote. Même si les droitsde vote sont généralement obtenus à l’occasion de l’achat d’actions, il est possible dedétenir un nombre de droits de vote qui ne soit pas proportionné à la participation (parexemple, les « actions spécifiques » permettent de disposer de droits de vote supérieursà ceux qui sont attachés à d’autres actions). Il est également possible d’obtenir <strong>des</strong> droitsde vote sans acheter d’actions (par exemple au moyen d’échanges financiers ou d’opérationsde pension) [BD4 de l’OCDE, annexe 13, p. 243].Les personnes ayant un emploi sont toutes les personnes ayant dépassé un âge spécifiéqui, pendant une brève période indiquée, d’une semaine ou d’une journée, ont occupéun emploi rémunéré en tant que salariés ou travailleurs indépendants (GST de l’OCDE,p. 170).Toutes les entités à vocation spéciale sont <strong>des</strong> personnes morales qui n’emploient pasou emploient peu de personnel, n’exercent guère ou pas d’activités et ont une présencephysique limitée ou nulle dans la juridiction dans laquelle elles ont été créées par leurssociétés mères, entreprises qui sont normalement situées dans d’autres juridictions(économies). Elles servent généralement de dispositif pour lever <strong>des</strong> capitaux et détenir<strong>des</strong> actifs et <strong>des</strong> passifs et ne sont en principe pas engagées dans <strong>des</strong> activités depro<strong>du</strong>ction d’envergure (BD4 de l’OCDE, annexe 13, p. 241).Une entreprise est une unité institutionnelle engagée dans la pro<strong>du</strong>ction de biens et/ou de <strong>services</strong>. Il peut s’agir d’une société, d’une institution sans but lucratif ou d’uneentreprise non constituée en société. Les entreprises constituées en sociétés et les institutionssans but lucratif sont <strong>des</strong> unités institutionnelles à part entière. Une entreprisenon constituée en société n’est qualifiée d’unité institutionnelle — ménage ou administrationpublique — qu’en sa qualité d’entité pro<strong>du</strong>ctrice de biens et <strong>services</strong> (BD4de l’OCDE, p. 260).Une entreprise d’investissement direct étranger est une entreprise, résidente d’uneéconomie, dans laquelle un investisseur d’une autre économie détient, directement ouindirectement, au moins 10 % <strong>des</strong> droits de vote dans le cas d’une société ou l’équivalents’il s’agit d’une entreprise non constituée en société (BD4 de l’OCDE, p. 261).Une entreprise d’une économie peut être liée, dans le cadre <strong>du</strong> Schéma d’identification<strong>des</strong> relations d’investissement direct, (SIRID), à une autre entreprise de la même économieou d’une autre économie, sans que l’une soit investisseur direct de l’autre, parcequ’elles sont directement ou indirectement influencées par la même entreprise dans lachaîne de propriété (BD4 de l’OCDE, p. 261).Les envois de fonds par les travailleurs sont les transferts courants effectués par les salariésau profit <strong>des</strong> résidents d’une autre économie (MBP6, p. 210, par. 12.22).Un établissement est une entreprise ou une partie d’une entreprise qui se trouve en unlieu unique et dans laquelle une seule activité pro<strong>du</strong>ctive (non auxiliaire) est réalisée oudans laquelle la principale activité pro<strong>du</strong>ctive représente l’essentiel de la valeur ajoutée(BD4 de l’OCDE, p. 262).Les exportations de biens et de <strong>services</strong> s’entendent <strong>des</strong> ventes, <strong>du</strong> troc ou de dons debiens et <strong>services</strong> entre résidents et non-résidents (GST de l’OCDE, p. 194).En règle générale, l’externalisation tra<strong>du</strong>it la décision d’une entreprise (ou d’un gouvernement)de remplacer les fonctions liées à <strong>des</strong> <strong>services</strong> pro<strong>du</strong>its par <strong>des</strong> fournisseursnationaux par <strong>des</strong> <strong>services</strong> importés pro<strong>du</strong>its à l’étranger (GST de l’OCDE, p. 377).Le MSCIS <strong>2010</strong> formule <strong>des</strong> recommandations sur la collecte de <strong>statistiques</strong> axées surl’activité <strong>des</strong> filiales étrangères, qui sont <strong>des</strong> entreprises d’investissement direct étrangercontrôlées par le biais de la détention de la majorité <strong>des</strong> droits de vote par un investisseurdirect. La définition <strong>des</strong> entreprises affiliées (à la différence de celle <strong>des</strong> filialesétrangères) est plus large dans la BD4 de l’OCDE et le MBP6 : elle recouvre les entreprisesqui entretiennent une relation d’investissement direct. En conséquence, un investisseurdirect donné, ses propres investisseurs directs, ses filiales, ses entités associées et sessuccursales, y compris l’ensemble de ses entreprises sœurs, sont <strong>des</strong> entreprises affiliées.Une entreprise donnée peut faire partie de deux ou de plusieurs groupes d’entreprisesaffiliées. (BD4 de l’OCDE, p. 261).La formation brute de capital fixe s’entend de la valeur, pour une unité institutionnelledonnée, <strong>des</strong> acquisitions, moins les cessions, d’actifs fixes. Les actifs fixes sont <strong>des</strong> actifsissus <strong>du</strong> processus de pro<strong>du</strong>ction (tels que <strong>des</strong> machines, équipements, bâtimentsou autres structures) qui sont eux-mêmes utilisés de façon répétée ou continue dansd’autres processus de pro<strong>du</strong>ction sur plusieurs pério<strong>des</strong> comptables (pendant plus d’unan) [SCN 2008, p. 8, par. 1.52].
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