I, 19 B - Gottfried Wilhelm Leibniz Bibliothek

436 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1700–1701 N. 216
dun esprit comme le vostre qui fasse regarder le chose du bon costé. deux mos de vostre
part me sufirons[.] je sçay que vous n’avé point de temps et suy 〈...〉
216. FÜRSTIN LUISE VON HOHENZOLLERN AN LEIBNIZ
Beilage zu N. 215. [215. 242.]
5 Überlieferung: k Abfertigung: LBr. F 21 Bl. 8–9. 1 Bog. 4 o . 3 S. von Schreiberhand, mit
eigh. Höflichkeitsformel und Unterschrift. Mit Korrekturen.
Si ce netoit point abuser de Vos bontez Monsieur, on Vous chargeroit avec plaisir
de poursuivre l[’]affaire que Vous avez si bien commencée, Vous Vous souviendrez, mon
cher Monsieur Lemnitz, que nous avons toujours regardé Cassel comme notre partie
10 opposante, et il est tres certain que si Vous n[’]etiez pas retrouvé et sorti de l[’]armoire
où Vous Vous etiez caché pour vous derober aux yeux de vos amis il n’y auroit rien à
esperer pour moy, quoique Monsieur le Duc Antoine Ulrique de Brunswic s[’]est engagé
de faire suivre aux autres Princes L’exemple qu’il a donné. Il fait valoir, comme Vous
scavez, le Tiltre de Bourgrave de Nuremberg. Je ne doute point que ses persuasives ne
15 portent coup. Ce qui arrete sans doute la Reponse de Pologne Gera et Weissenfels, est
un manege du Prince de Furstemberg qui, par une jalousie mal fondée, tachera toujours
de mettre la chose en suspens ne la pouvant pas rompre. C[’]etoit pourtant ces Reponses
qui ont retardé toute l’affaire, et empeché Monsieur le Duc de Wolfenbuttel de l’avoir
entamée à Cassel. Je ne scay pas meme ce que je dois demander à ce Prince ladessus:
20 Convenez en avec lu〈y〉, s[’]il Vous plait, et taché de faire connoitre par Vous meme ou
par un tiers à Monsieur le Landgrave de Cassel les memes raisons que Vous avez si bien
insinuées à Wolfenbuttel. Si cela peut se faire, sans marquer aucune Commission, il nen
Zu N. 216: k war Beilage zu N. 215 und wird beantwortet durch N. 277. 15 Reponse . . . Weissenfels:
Aus einem Brief der Fürstin vom 4. April 1702 an Leibniz (LBr. F 21 Bl. 15–18; gedr.: Feder, Comm.
epistol., 1805, S. 470–473) geht hervor, daß Herzog Anton Ulrich zugesagt hatte, ” die interesse deß Hauß
Zollern und deßen illustre in allem zu secundiren, absonderlich beym König in Pohlen, dem Herzog von
Sachsen Gothen und Weißenfels‘‘, und sie bittet Leibniz herauszufinden, ” ob nun dißes geschehen und
waß vor antwortt wortten‘‘. 16 Prince: Anton Egon von Fürstenberg-Heiligenberg, Statthalter in
Kursachsen.
24. 10. 2005