Bulletin des Commissions royales d'art et d'archéologie

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On le répète ici : il est nécessaire que les fautes d'un
livre de celte importance, émanant d'un académicien belge,
soient signalées en Belgique même :
il ne faut pas que
l'étranger, auquel ce livre est destiné, puisse considérer tous
les Belges comme solidaires de ces fautes.
Quant à l'Académie royale de Belgique, qui n'a pas à
approuver ni à improuver les élucubrations individuelles
de ses membres, c'est lui rendre service que de se subsituer
à elle et de signaler ici, en les désavouant, les œuvres des
académiciens qui pourraient déconsidérer à l'étranger notre
premier corps savant.
Liège, juin 1874.
H. SCHUERMANS.