aristotélisme et stoïcisme à l'époque impériale - Archipel
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NOTES SUR LE TEXTE GREC<br />
1. Problème l, 118.27: Robert Sharples a traduit le tenne a iir<strong>et</strong>o'n par "valuable", tout en indiquant<br />
que le tenne désignait littéralement "ce qui est digne de choix". "Désirable" nous semble plus près<br />
du sens littéral du tenne.<br />
2. Problème l, 119.12 : Nous avons choisi de supprimer le e i initial en 119.12 afin de rendre<br />
possible un découpage du paragraphe en plus p<strong>et</strong>ite unité, l'apodose n'intervenant qu'<strong>à</strong> la ligne<br />
119.21.<br />
3. Problème l, 119.13 : À l'instar de Robert Sharples, nous adoptons ici l'ajout de xair in après le<br />
e:stin que proposait Spengel.<br />
4. Problème l, 119.29 : Robert Sharples suggérait de traduire diot i par "parce que", tandis que<br />
Schwartz proposait de corriger ce tenne en oite. Nous proposons "conséquemment" puisque c<strong>et</strong>te<br />
dernière partie de la phrase doit être lue comme une consécutive <strong>et</strong> non pas une causale.<br />
5. Problème l, 120.1-2: Le a ilr<strong>et</strong>o'n est considéré comme suspect par Spengel. Ivo Bruns suggérait<br />
quant <strong>à</strong> lui l'ajout de l'article ta' devant le a ilr<strong>et</strong>dn : le sens du texte serait alors: "ce qui est<br />
préféré doit suivre le jugement de ce qui est excellent". Selon Robert Sharples, c<strong>et</strong>te interprétation<br />
résumerait bien le Problème, mais l'assertion semblerait tout de même hors contexte, car nous<br />
attendrions alors une raison de soutenir que l'homme ne serait pas meilleur que les autres créatures.<br />
Nous avons choisi de conserver le a ilr<strong>et</strong>o'n, mais d'en faire une fonne adverbiale.<br />
6. Problème 11, 121.6-8 : À l'instar de Robert Sharples, nous faisons porter la négation oui galr de<br />
la ligne 121.6 sur le ouitwj de la ligne 121.7. Même si c<strong>et</strong>te interprétation rompt l'équilibre<br />
grammatical entre le wjsper <strong>et</strong> le ouitwj en obligeant un découpage de la phrase en deux<br />
propositions distinctes, elle produit un résultat plus clair que l'interprétation littérale qui<br />
nécessiterait une longue paraphrase introduite par "ce n'est pas le cas que...".<br />
7. Problème Ill, 121.18 : Contrairement <strong>à</strong> Robert Sharples, qui considère que l'optatif 9 ill10 into de<br />
la ligne 121.18 est utilisé parce que l'argument porte sur la thèse qu'Alexandre attribue <strong>à</strong> ses<br />
opposants <strong>et</strong> qui traduit en conséquence par le futur "sera", nous avons r<strong>et</strong>enu le sens d'atténuation<br />
de l'énoncé impliqué par l'utilisation de l'optatif <strong>à</strong> c<strong>et</strong> endroit.<br />
8. Problème Ill, 121.31 : L'ajout par Spengel de <strong>à</strong> la ligne 121.31 nous semble légitime,<br />
compte tenu du parallélisme avec l'expression giinesqa i ton a:di kon a!di kon des lignes 121.30<br />
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