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commission pour l'aide financiere aux victimes d'actes ... - Justice

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te leggen. Modelformulieren van verzoekschriften kunnen worden bekomen<br />

op eenvoudige telefonische vraag of door te downloaden via het internet.<br />

Bovendien werd (en wordt) zij bijgestaan door een raadsman. Beide situaties<br />

(het aangehaalde voorbeeld en deze van mevrouw B) kunnen dus bezwaarlijk<br />

als “analoog” worden beschouwd.<br />

Nu verzoekster niet voldoet aan de vereiste wettelijke voorwaarden en de<br />

ingeroepen overmacht niet kan aanvaard worden, kan de Commissie niet<br />

anders oordelen dan dat het ingediend verzoek, voor zover het strekt tot het<br />

bekomen van een hulp voor schade voortspruitend uit de feiten van 3 februari<br />

2004, niet ontvankelijk is.<br />

requête tardive: décision sur les intérêts civils<br />

98641 (2005)<br />

Le conseil de la requérante fonde sa requête sur l’article 33bis de la loi du<br />

1/8/1985 qui prévoit que l’aide peut également être octroyée lorsqu’aucune<br />

judiciaire définitive sur les intérêts civils n’est intervenue.<br />

Cela signifie que la Commission peut évaluer elle-même le dommage, mais<br />

cet article doit être lu en combinaison avec l’article 31 bis, 4° de la loi du 1er août 1985 qui prévoit que « La demande est introduite dans un délai de trois<br />

ans. Le délai prend cours, selon le cas, à partir de la première décision de<br />

classement sans suite, de la décision de la juridiction d’instruction, du jour<br />

où il a été statué sur l’action publique par une décision définitive ou du jour à<br />

partir duquel une décision sur les intérêts civils est intervenue postérieurement<br />

à la décision sur l’action publique ».<br />

Or, en l’espèce, il ressort d’un courrier de maître D adressé au Procureur du<br />

Roi 16 avril 1996 que le dossier a été classé sans suite en 1991, l’auteur des<br />

faits n’ayant pas été identifié alors que la requête a été introduite le 7/4/2004,<br />

soit plus de trois après la décision de classement sans suite.<br />

Compte tenu de ce qui précède, la Commission estime qu’il y a lieu de déclarer<br />

la demande, irrecevable.<br />

99609 (2005)<br />

L’article 31bis, 4° de la loi du 1er août 1985 prévoit que « La demande est<br />

introduite dans un délai de trois ans. Le délai prend cours, selon le cas, à<br />

partir de la première décision de classement sans suite, de la décision de<br />

la juridiction d’instruction, du jour où il a été statué sur l’action publique par<br />

une décision définitive ou du jour à partir duquel une décision sur les intérêts<br />

civils est intervenue postérieurement à la décision sur l’action publique ».<br />

En l’espèce, un jugement statuant sur l’action publique a été rendu en date<br />

du 27/5/1998 par le tribunal correctionnel de Bruxelles alors que la demande<br />

d’aide principale a été introduite le 8/11/2002, soit plus de trois ans après la<br />

décision précitée.<br />

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