13.07.2015 Views

Actes - Climato.be

Actes - Climato.be

Actes - Climato.be

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

25 ème Colloque de l’Association Internationale de <strong>Climato</strong>logie, Grenoble 2012On note sur ces signatures spectrales (200 nm à 3000 nm) que les maximums du flux directet de la diffusion atmosphérique s’observent autour de 500 nm aux niveaux 1 et 2 km.2.3. Situation 4 heures après la détection d’une perturbationLes flux d’énergie radiative nocturnes sont calculés en fonction de la longueur d’onde(figure 5). Il s’agit pour ce domaine spectral (200 à 3000 nm) essentiellement de la diffusionatmosphérique, au niveau 1 km et au niveau 2 km.Figure 5 : Flux de diffusion atmosphérique : a) à 1 km, b) à 2 km.Quatre heures après la détection de la LG, on se trouve dans la partie stratiforme. Lasignature spectrale indique une différente assez nette des profils des flux montant etdescendant de l’énergie radiative. La figure 6 montre les flux calculés à partir deradiosondages effectués pendant la nuit, en fonction de la longueur d’onde. Il s’agit pour cedomaine spectral, 200 à 3000 nm, essentiellement du flux direct et de la diffusionatmosphérique toujours aux mêmes niveaux 1 et 2 km.Figure 6 : Flux direct et diffusion atmosphérique : a) à 1 km, b) à 2 km.On note une absence totale de linéarité du flux d’énergie radiative par rapport à la longueurd’onde ; il apparaît une différence nette de signature spectrale après la détection de LG diurnedans une période comprise entre deux et quatre heures.ConclusionLes lignes de grains (LG) africaines sont un acteur majeur de la climatologie de l’Afriqueau nord de l’Equateur, en particulier au Sahel, en ce sens que ces phénomènesmétéorologiques gouvernent les échanges d’énergie au sein de l’atmosphère d’une région228

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!