Leibniz, Akademie-Ausgabe, Bd. I, 20 - Gottfried Wilhelm Leibniz ...

690 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 398
398. LEIBNIZ AN CASIMIRE OUDIN
[Berlin, 27. Dezember 1701]. [316.]
5 Monsieur
Überlieferung: L Konzept: LBr. 703 Bl. 11–12. 1 Bog. 8 o . 1 S. auf Bl. 12 r o . — Auf Bl. 11 u.
12 v o K von N. 289.
je vous remercie de ce que vous m’avés indiqué touchant Ratramnus de Cynocephalis.
Si le P. Placide Porcheron vit encor, et si vous savés, Monsieur, où il est je vous supplie
de me l’indiquer. Vous ferés bien de desabuser le public sur Balduinus de Avennis; et
en general de mettre vos bonnes pensees en estat d’estre conservées. Si j’y puis estre
10 utile, je n’ y manqueray pas. Car je fais profession de contribuer au bien public. C’est
pour cela, et par ordre de la Reine de Prusse aussi que je me suis arresté icy quelques
mois, car cette princesse a eu de la bonté pour moy depuis Hanover, où je suis un ancien
serviteur, et le Roy de Prusse a voulu que je dirige quoyque absent la societé nouvelle des
sciences qu’il a fondée à Berlin, faisant bastir un observatoire et mettant d’autres ordres
15 pour cet effect. L’Electeur mon maistre a eu la complaisance de me donner permission de
m’arrester si long temps icy, où je [ne] neglige pas entierement son service, cependant je
dois retourner bientost chez moy. Le R. P. Papebroch qui a esté dangereusement malade
mais qui se porte mieux, m’a fait écrire par le R. P. Janning son compagon d’ouvrage,
que cette vie de S. Antoine de Padoue (comme on l’appelle) dont vous m’aviés parlé, luy
20 est inconnue, ainsi si vous la luy pouvés procurer, vous nous obligerés. On me dit que
Monsieur Pictetus de Geneve succede chez vous à M. Spanhem. Il passe pour habile et
Zu N. 398: Die nicht gefundene Abfertigung antwortet auf N. 289; sie war Beischluss zu Leibniz’
Brief an B. de Volder vom 27. Dezember (gedr. Gerhardt, Philos. Schr., 2, 1879, S. 232–235), wie sich
aus Joh. Bernoullis Schreiben an Leibniz vom 14. Januar 1702 ergibt (gedr.: Gerhardt, Math. Schr.,
3, 1855, S. 689–692, hier S. 691). Daraus folgt unsere Datierung. Eine Antwort wurde nicht gefunden. In
der erhaltenen Korrespondenz folgt ein Brief von Oudin an Leibniz vom 20. Juli 1702 (Druck in I, 21).
11 Reine: Sophie Charlotte. 13 Roy: Friedrich I. 15 L’Electeur: Georg Ludwig. 18 écrire:
N. 355. Hier ist zwar von Papebrochs Krankheit und seiner beginnenden Genesung die Rede, nicht aber
von der Antoniusvita; vgl. dazu Papebrochs eigenen Brief vom 14. Oktober (N. 302). 19 cette vie
. . . parlé: Sicco Ricci Polentone, Sancti Antonii Confessoris de Padua vita, (um 1435); vgl. N. 302 Erl.
Ein Brief, in dem Oudin hierauf die Sprache gebracht hätte, wurde nicht gefunden. 20 On me dit:
wohl mündlich; Quelle war vermutlich J. Fabricius, vgl. N. 461 u. Erl. 21 M. Spanhem: F. Spanheim
d. J.
29. 11. 2006