Semaines Thématiques - Ayuntamiento de Zaragoza

DOCUMENT FINAL DES SEMAINES THÉMATIQUES DE LA TRIBUNE DE L’EAU D’EXPO ZARAGOZA 2008
Surface agraire
49,9% de la surface
totale
Importantes transfor-
mations internes
Surface forestière et
autres surfaces
47,1% de la surface
totale
Fortes transforma-
tions internes
Zones humides
0,2% de la surface totale
Légère diminution
Lames d’eau
0,7%
Augmentation
On peut assumer les interactions basiques entre
les différentes couvertures du sol et le cycle
hydrologique :
La végétation naturelle et en particulier la
couverture forestière, est une protectrice du sol et
affecte l’infiltration de l’eau de pluie, le développement
radiculaire établit la structure des particules
et des pores du sols, ce qui influe directement sur
les taux d’infiltration et sur les taux de rétention
d’eau, en plus d’augmenter l’évapotranspiration et
de diminuer le ruissellement.
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EAU ET TERRE
TENDANCES OBSERVÉES EFFETS SUR LE CYCLE HYDROLOGIQUE
Légère baisse des zones agricoles de
cultures intensives : augmentation de
l’irrigation, diminution des terrains secs,
abandon de zones agricoles marginales
et perte de zones agricoles hétérogènes.
La plus grande partie de la perte de sol
agricole est due au passage à des surfaces
artificielles, et dans une moindre
mesure à des zones forestières déboisées
et des espaces ouverts, et à la forêt.
Légère réduction due à l’augmentation
des surfaces artificielles, des zones
agricoles, malgré la colonisation sur
des zones agricoles en zones marginales.
Importantes surfaces brûlées.
Diminution des glaciers et des zones de
neiges éternelles, qui peut être liée au
processus global du changement climatique
ou à des divers cycles climatiques
courts. Echanges forts à l’intérieur de
la classe.
Les terrains humides et les zones marécageuses
ont été remplacés en partie
par des zones agricoles (40%, principalement
des terres irriguées), par des
salines (25%) et des retenues (18%).
80% des lagunes côtières et des estuaires
qui ont disparu ont été remplacés
par des zones industrielles, commerciales
et de transport et 45 % des marécages
qui ont été remplacés par d’autres
occupations du sol se sont transformés
en salines, 26% en zones agricoles et
25% en surfaces artificielles
Augmentation des surfaces artificielles
par la construction de retenues (20%) à
partir de zones forestières à végétation
naturelle (presque 60%).
Politique d’expansion de l’irrigation
pour une plus grande productivité et
diversification (MMA, 2006).
Augmentation de la consommation
d’eau. Baisse de la qualité de
l’eau à cause de l’emploi d’engrais
et de pesticides. Augmentation de
l’évapotranspiration par augmentation
de la biomasse végétale suite à
l’abandon rural.
Effets sur l’infiltration et la percolation,
augmentation du ruissellement.
Effets sur l’évapotranspiration. Baisse
des ressources hydriques.
Effets de la diminution des débits. Diminution
de la disponibilité des eaux
souterraines due à la surexploitation
des aquifères (Vlachos et Evan, 2003)
Augmentation de l’évapotranspiration.
Augmentation de la capacité de stockage
(MMA, 1998).
Les surfaces agricoles possèdent différents
taux d’infiltration, de ruissellement et
d’évapotranspiration. Les cultures irriguées sont
celles qui provoquent le plus d’impacts négatifs
sur le cycle hydrologique, les demandes élevées
en eau affectant sa qualité, à cause de l’emploi
d’engrais et de produits phytosanitaires, et aussi sa
quantité, puisqu’elles représentent les plus grosses
demandes (80% de la demande totale en Espagne).
Les zones sans couverture végétale et à forte
pente facilitent les processus d’érosion, avec une