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structures et les relations. La projectivité signifie, 're'signifie
et 'trans'-signifie le sens et les valeurs. Ici questionne
le pourquoi dans son exigence de vérité absolue.
Là, le comment de la cohérence hypothético-déductive.
L’objectivité est en quête du même. La projectivité n’a
pas peur de l’autre. Elle se risque dans l’u-topos de
l’infinitude et dans l’ouvert de la transcendance. Celle-là,
par contre, cherche l’équilibre structural dans le topos de
la finitude et dans la clôture de l’immanence. C’est en
bulle qu’elle réussit à boucler son mouvement d’intelligibilité
totalisante. Une totalité où l’homme devient
"maître et possesseur de la nature" dans la totalisation
exclusive du même. Un monde qui se constitue et se
justifie en lui-même et par lui-même. Grâce aux
mathématiques, sciences du ’même’ par excellence. Elle
opère une double réduction ramenant les deux sphères
de l’intelligible et du réel à une équation unitaire. Réduction
de l’intelligible au logico-mathématique articulant
analytiquement et synthétiquement, dans la clarté et la
distinction, un discours structuralement simple et cohérent.
Réduction du réel au logico-matériel qui s’articule
par structuration, destructuration et restructuration d’éléments
simples en structures complexes et de structures
complexes en éléments simples. Et enfin équation
unitaire de l’intelligible et du réel, le logico-mathématique
et le logico-matériel coïncidant en leur logicité et se
totalisant dans l’objectivité.
Cette réussite de la science lui donne un statut privilégié
dans l’espace épistémologique et pragmatique humain.
Elle représente le seul et unique effort de l’homme ayant
abouti à une totalisation aussi vaste et aussi cohérente.
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