PONTS ET VIADUCS

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que côté du pont, et les mécaniciens ~onnaient un coup
de sifflet au signal; on notait l'heure (0) aussi bien que
le moment où le train entrait sur le pont (E), celui auquel
le dernier wagof,l passait (Q), et enfin le InOIDentauquel
la tête du train atteignait l'autre extrémité du tablier et
sortait du pont (8).'
L'intervalle de 0 à E divisé par 100 mètres donnait la
vitesse d'entrée; l'intervalle de E à Q divisé par la longueur
du train, donnaitla vitesse de passage (moyenne) à l'entrée;
l'intervalle de E à S divisé par la longueur du pont,
donnait la vitesse de passage sur le pont. On a cessé, après
les premiers essais, d'observer S, parce qu'on n'entendait
pas de sifflet, et (0) pareillement. Généralement, on s'est
contenté de E et Q. .
Un observateur était sur la rive gauche de la Garonne ou
de Langon, à rentrée du pont, et observait la marche sur
la voie de gauche, en aval; un autre était placé sur la rive
droite, côté de Saint-Macaire, à la sortie du pont, et observait
la voie d'amont. Dàns les expériences de croisement,
l'un et l'autre ont observé les deux voies.
Premit!re expérience.
Dans la première expérience, le convoi de gauche a passé
seul sur le pont, voie aval.
Obse1'vation de Langon. Observation de Saint-Macail'e.
(0) A 100m avant l'entrée, om0".
(E) Entrée du convoi sur le pont 0'" 16".
(Q) Passage de la queue au dernier wagon,
Om38".
(S) Sortie du pont non observée?
16"
;. VI ' tesse 100'
22 k1. ' l
.
arnvee. '
22.".
~
6m vItesse
'21
,
30 kll. passage.
Le mécanicien n'a pas siffié.