PONTS ET VIADUCS

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présenté par six fois le rapport du moment de rupture au
llloment d'élasticité, soit par
sur les piles, et par
~ur le milieu des travées.
0
4161050
6.
0 37246u
6. 27069~
2661025
En calculant ces deux nombres on trouve que le pont sur
la Garonne à Bordeaux travaille au plus
à' 6\7030
à 6\ 1036
sur les piles,
entre ies piles.
Calculde la paroi verticale.-Cette paroi n'est pas pleine.
Elle se compose de panneaux évidés dont le cadre est for~
mé par la plate-bande supérieure, la plate-bande inférieul'e,
et deux montants verticaux; deux diagonales dont la section
est en forme de double T relient les angles opposés du cadre.
Elles sont assemblées à mi-fer et leur réunion forme une
croix de saint André ou un croisillon.
Ce sont les croisillons qui supportent tout le poids du
pont. Il en résulte pour eux une tension dans le sens 'de leur
longueur. Cette tension, nulle au point de la travée qui
correspond au point de rupture maximum, va en croissant
jusqu'aux appuis. M. Clapeyron admet pour variation de
tension d'un panneau à l'autre
AT==
pd
2sin'4'
p étant le poids par mètre coura:nt surcharge comprise,
d la longueur du panneau,
rJ.l'angle des croisillons avec l'horizon.
En remplaçant dans la formule précédente