PONTS ET VIADUCS

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Les madriers de l'assise inférieure en bois de chêne, peuvent
être considérés comme encastrés, soit par leurs attaches
aux poutrelles, soit par la, charge et la solidarité
qu'ils reçoivent de madriers superposés.
Dans ces conditions et dans le cas le plus défavorable,
celui où la roue chargée au maximum serait au milieu, le
moment de rupture égale
et le moment de résistance
p 3000X1375
l =
8
::.=519
RI Rab2 /00000 X 0.012XO.88
Y-=6= 6
=1025>519.
L'on voit encore par ce résultat que lors même que les
madriers ne seraient pas considérés comme encastrés, ils
présenteraient encore une résistance suffisamment grande.
Le tablier, affecte dans s~n profil en long la forme parabolique,
dans le but d'avoir une pente convenable pour l'écoulement
des eaux; il SBtrouve ainsi relevé de 1. 35 au milieu,
ce qui donne de chaque côté de l'axe une pente moyenne
de 0.02. Des égouts de 0.0 ~
sont ménagés de distance en
0.04
distance le long des longuerines formant bordure des trottoirs.
Le plancher que nous avons déerit donne de la solidarité
et de la rigidité à l'ensemble des poutrelles, qui sont le
principe du tablier. Ce bon effet est complété par un contreventement
au-dessous des poutrelles, composé de fers
en croix de Saint-André, à concurrence de deux croix par
travée et de deux fers plats parallèles à l'axe du pont, continus
sur toute sa longueur. Ces derniers sont rivés aux
têtes de poutrelles, au-dessous de l'attaehe des tiges, et
viennent à leurs extrémités se sceller dans les culées.