PONTS ET VIADUCS

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On n'a ainsi à construire que deux paraboles, qui, pour
le cas qui nous occupe, seront données par les deux équations
suivantes:
lercas.. . .. tjoox\
2e cacS. . .. 37°0 X2.
Ces deux paraboles une fois trouvées pour déterminer les
positions qu'elles doivent ocwper sur l'épure, par rapport
aux points d'appuis dans les diverses hypothèses de surcharge,
il suffira, comme l'axe des y est vertical, de déterminer
les positions de leurs sommets~ qui sont données par
les valeurs de x et M:umaximum trouvées plus haut.
Pour l'application de la méthode graphique, nous traçons
sur un carton les deux paraboles données par les équations,
les découpant ensuite sous forme de patrons (croquis
Fig.46. ci-contre), nous les plaçons sur
-.:-
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T\lo ~
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l'épure, et maintenant toujours
-'7 IBU1'axe des y vertical, nous les
/ fI'i\fl faisons courir parallèlement à
elles-mêmesde manière à venir
--- n,,:~--', ---,
dre leurs sommets aux différents
J 'L faire successivement correspon-
~-
;,;" M~ ' pointsdéterminéspar leurs co.
ordonnées, calculées comme ci-dessus.
Nous avons à l'aide de ces patrons et de cette méthode,
tracé pour chacune des quatre t~'avées du viaduc, les paraboles
correspondant aux cinq hypothèses de surcharge
indiquées plus haut.
On voit à l'inspection de l'épure (Pl. 19, fif!. 5) que
les efforts maximum de rupture, sont inférieurs dans tous
les cas au moment de résistance des poutres dans leurs sec.
tions les plus défavorables.
Afin d'éviter de porter le moment d'élasticité maximum
tantôt au-dessus, tantôt. au-dessous de l'axe horizontal,
toutes les ordonnées négatives de notre courbe parabole