PONTS ET VIADUCS

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su périeul'e passe une seIlette reposant sur deux câbles de
slispenslOn.
Elles ont une section pleine de 49° millimètres carrés'
corrèspondant à un diamè,tre théorique de 25 millimètres,
soit un diamètre apparent de 30 millimètres.
En faisant travailler le fer dont elles se composent à
15 kil. par millimètre quarré, coeHicient inférieur de 3 kil.
à celui autorisé par l'administration supérieure pour les
ponts suspendus, chacune el'elles peut porter
{190X. 15 = '/ 550 kHog.
La charge ma,ximum à laquelle l'une d'elles sera soumise
comprend:
10 La moitié de la charge maximum d'une poutrelle dé-
terminée ci-dessus, soit
2000 X 500 ,." .
= 8 500 kllog.
2 '
20 Le poids propre de la tige (maximum).
Soit ensemble
6"',00 >< 4\30 = 25k.8o.
3526 kilog. < 7350 kilog.,
charge dont elle est capable, comme nous l'avons démontré
(Fig. 71.) ci-dessus.
o~Q~ Nous avons dit qu'un goujon as-
~~ 0 ~. semblait une tige à une poutrelle,
:- ~~ ~-- en passant dans deux trous ména-
1 !
~3526h i:iJ gés dans les deux cornières des
~ . ~ têtes et dans la croupière inférieure
de ladite tige.
Dans son travail, ce goujon peut être assimilé à une
pièce reposant librement sur deux appuis, et sollicitée par
une force également répartie sur toute la longueur et égale
en intensité à la tension d'une tige.