dictionnairecrit00peiguoft

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censures* le fut cependant beaucoayi à l'cxCommunîcatîort
que lança contre Jui le général de son ordre : il était do
l'ordre des chanoines réguliers de Saint Augustin , et biblio-
tliécaire de Sainte Geneviève. Il se retira à Londres en
J728, et y mourut, eu 1776 , à quatre-ringt-^eize ans,
COWARD. Coward's second Tlioiïgths concerning
humansouls, London ^ 1702, in-8., réint"
primé en 1704,
/>2-8. Du même auteur: Foi ther
Thoiîgths , Lonclon , 1708 , in-^. Du même
Tnéme auteur :T\\Q grand essai or a vindication
of reason and Religion ,
against impostures of
Philosophy, proving, i/^ that de existence of
anj immatertal substance is aPhilosophicimpos*
lure and inripossibile to be concevcid ; 2.^ That
ail matter bas originallj created in it a prînciple
of internai ofselF motion ; 3.^ That matter and
motion must be the Foundation of thoogt in
man an Brutes, witb an answer to M. Brougb-
tons Psychologie. London ^ 1704* in-^.
Cet ouvrage a été condamné, par ordre du parlement
fl' Angleterre, à être brûlé par la raain du bourreau. L'auteur
y soutient que la doctrine des chrétiens sur l'immatérialité
de l'ame vient des payens ; qu'elle est contraire aux prin-
cipes de la philosophie, de la religion et de la raison j
suivant l'Ecriture sainte, l'ame n'est autre chose que
que ,
la vie de l'homme, cette faculté par laquelle fl se meut,
il vit , il sent , il raisonne ; qu'elle existe dans le corp»
tant qu'il est en vie ; mais qu'elle cesse aussitôt qu'il est
mort. Cependant , elle doit exister de nouveau lorsqu'au