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représentée à Paris : le clergé s'opposait à sa publication.
L'auteur la dédia à Benoit XIV.
i^^j. Histoire des Voyages de ScartnentadOt
Roman salyrîque qui a été défendu.
2748. Zadig^ ou la Destinée,
Autre roman satyrique qui a eu le même sort,
1751. De la paix perpétuelle.
Cette production a été supprimée.
1755. La Pucelle d'Orléans.
Ce poème avait été commencé dès 1780 ; le garde des
sceaux Chauvelin , en ayant entendu parler, avait menacé
Voltaire de le faire jeter dans un cul de basse-fosse, s'il
publiait cet ouvrage. La première édition , donnée par
l'auteur, est de 1762. Il est inutile de dire que la Pucelle
n'a pas été vue à la Sorbonne et au parlej[iient, du même
œil qu'au parnasse.
1758. Candide , ou V Optimisme,
Homan philosophique et sa lyrique qui a été proscrit.
175g. Cantique des Cantiques, •— VEcclédaste,
Le premier de ces poèmes a été condamné à être brûle
par arrêt du parlement. Omer de Fleuri dit , dans son
réquisitoire, qu'il est évident que l'auteur n'a composé cet
ouvrage que dans un esprit opposé à celui de la religion.
1759, La Mort de Socrate , drame.
3761, Sermon du Rabbin, Akib,
3762. Sermon des cinquante,
1763. Traité sur ta Tolérance»
1763. Saiil 3 drame.
1763. Catéchisme de Vhonnête Homme , ou Dialogue du
Caloyer ,
etc.
Tous ces ouvrages ont été condamnés.
1704. Dictionnaire philosophique^ commencé eli 1760 ^