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de cette Réfutation , qtiô Chaiïes-Qaïnt a fendu une ofJon-*
fiance pat laquelle il défend ^ sous peine de fiiort , la lecture
6qs Œuvres de Luther et autres hérésiarques. M. Ch. Welss ^
qui m'a fait cannaitre„Constanc.c Guenaxd , possède la Réfu-
tation de son ouvrage.
G U I A R D. La Fatalité de Saîn't - Cloud , prës
Paris. (Par le Père Guiard, Jacobin.) 1764,
in*fot.
ÊxeiïJpjaire que l'on regarde comme unique^ paf la sup-
{)ressiQU.^^ctequerjavite|^,en fît,; vendu 3o livres chez le duo
de la V^lJièfe en 178^^, La réimpression z/z-iâ n*est ni rare nî
chère. .Cet ouvrage est une dissertation dans laquelle on
tiierche à prouver que Jacques Clément n'était pas jacobin*
dépendant on trouve encore quelquefois des estampes du
temps où cet assassin est représenté en habit de Jacobin , 1g
couteau à la ruai n ^ comme S. Barthelemi ; d'ailleurs , M. ào
T^liou , qui a été Pun des juges de Jacques Clénnent , assure
(ju'ilétaii jacobin^ et tous les historiens l'assurent de même,
ifean Goclefroia publié uu ouvrage très-curieux contre le livre
du père Guiardé Un docteur. de Sorbonne, nommé Aujet^
prétend avoir vu , au commencement du î8.^ siècle , les
actes d'une assemblée dé la faculté où il fut délibéré, du
tênips de la ligue , de demander au pape la canonisaiiou
de jaoques Clément; et que le doyen ne trouva pas d'autre
Hiôyen de l'empêcher , que de proposer de cherclier aupa-
ravant dans les registres de la faculté, »'il se trouverait
des exeuaples que la faculté eût demandé des carionisaiions*
Au l"este i, ajoute labbé de Longuerue , vous savez que cette
pauvre faculté était alors privée de ses docteurs les plus
£âgeâ ^ et qu*dn n'y avait laissé que des fanalicjues* Mais
il ne serait point surprenant que l'on eût demandé cette