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libertins. Le premier rang contient Id Pomponace , lip
Paracebe Gt Machiapel, Quant à la Claf^'icule dô Salomoti ,
ce ne gôr^t que des imaginations de quelque teste creuse,
c'est la quadrature du cercle Aq^ athéîstes. Pour le Pomp>
•ponacp ^ je n'en puis dire autre chose, sinon que c'est un
très-mécbant homme , à ce que je, puis voir dana le miser
xable Lucilio ( Vanini ), Car , n'ayant jamais , gr^ce^ à pieu,
perdu le temps à la lecture; de ses impiétés , je n'en saurais
porter tesmoignage , sinon sur le rapport d'auj;rui. U
est vrai que dans les Dialogues, àe ce misérable vilain
( Vanini ) , ]e le vois toujours qualifié de A'/«5 Pompona'
tins , ou PomponaUus PhijQsopJuorum Deus , par .son d^s»»
.ciple Alexandre, l'un des interlocuteurs; et lisant Jeç jçi,*
piétés par lui rapportées, je dis que cet homme devait être
quelque diable incarné , comme Coruelio Agrippa, Pa^:ac«î&6
est plutôt un resveur et alchymistfî dangereux , qu'ujl
athéiste ou libertin. ., , En lisant quelques lambeaux, de
ses ouvrages sur la magie, rapportés dans les Disquisitions
de Martin del Rio, il semble que la teste de cet homme
fût comme une vive lanterne remplie d'étranges fantai'pies
et d'imaginations frénétiques. Machiavel est aussi et plus
coupable que ceux dont nous venons de parler» ,».,, , t«e
second rang de la bibliothèque de nos athéistes,.contier}t
Hierosrae Cardan, Charron et Lupilio Vanino. Pour Ca|>
dan , les impiétés fourmillent ii centaine dans ses Œuvres ;
les plus méchans. livres qui soient sortis au jour, fiç;..64
façon , ont été sa Sapience r, ^o\i J-mniortçiliié ,4fc-V'dme
et son Lit>re des p)émons. Dans Ip second de ces trois (ivre?,
il est entièrement brutal et dogmatise que l'amo de l'iiomme
n'est point fl*autrp nature que celle d'un cheval. Dans |o
troisième, il est ouvertement magiciep , et, sous, ce Mire,
défendu dans l'indice du concHcï de Trente. Pour Charroi
( nous en avpns déjà parié pa^tf 76 ) , o'c$t ya tr^s-|3e^ui^igli;î,