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<strong>à</strong> l'Annexe 1.2. Ni le catalogue <strong>du</strong> musée nI le journal de Larose mentionnent sa<br />

participation <strong>à</strong> des expositions en 1899.<br />

398<br />

En 1900 Larose signale sa participation au salon de la Art Association 265 ; selon le<br />

catalogue <strong>du</strong> musée, deux de ses toiles sont exposées 266 • En cette année, Larose mentionne<br />

un détail intéressant: il porte son concours au journaliste et critique d'art Albert Laberge 267<br />

<strong>à</strong> la rédaction d'une critique <strong>du</strong> salon pour les journaux 268 • Larose aura d'autres contacts<br />

avec Albert Laberge au cours des années 269 •<br />

En 1901 et 1902, Larose enregistre qu'il soumet des tableaux au salon mais ne<br />

spécifie ni le nombre ni le genre de tableaux qu'il y envoie270 . Il ne mentionne pas<br />

d'expositions en 1903. Puisque le catalogue n'enregistre pas la participation de Larose en<br />

190 1, 1902 ou 1903, on conclut que les toiles soumises ont été refusées.<br />

265 Ibid. , les entrées <strong>du</strong>: 15 et 16 mars 1900, p. 279<br />

266 Il s'agit de Plants in a city green house (prix: 100,00$) et In a conservatory (prix: 150,00$) : Evelyn<br />

de R. McMann, op. cit., p. 215.<br />

267 Albert Laberge (1871-1960) est poète, romancier, critique et journaliste <strong>à</strong> La Presse de 1896 jusqu'<strong>à</strong> sa<br />

retraite en 1932. Laberge cache des yeux <strong>du</strong> public son athéisme et son anticléricalisme. En 1909 il se<br />

joint <strong>à</strong> l'École littéraire de Montréal et en 1918 il publie La Scouine, qui s'inspire des auteurs français tels<br />

que Maupassant et Zola, et qui est d'un naturalisme brutal: « La Scouine marque une rupture brusque avec<br />

toutes les traditions <strong>du</strong> roman canadien <strong>du</strong> XIX e siècle »: Jacques Brunet, Albert Laberge: sa vie et son<br />

œuvre, Ottawa, Éditions de l'<strong>Université</strong> d'Ottawa, 1969, p. 115. Aussi: Jacques Brunet, « La Scouine<br />

d'Albert Laberge », dans Paul Wyczynski, Bernard Julien et Jean Ménard, dir., Archives des lettres<br />

canadiennes, Tome II: L'École littéraire de Montréal, Montréal, Fides, 1972, p. 201-211.<br />

268 « Le soir été <strong>à</strong> la réception des artistes au Carré Phillips, étaient l<strong>à</strong> Delfosse, Franchère et Béliveau et<br />

Albert Laberge avec qui j'ai visité. Été chez ce dernier après pour rédiger une critique <strong>du</strong> Salon pour La<br />

Presse de demain » : Ludger Larose, Livre de dépenses, op. cit., l'entrée <strong>du</strong> 16 mars 1900, p. 279.<br />

269 Nous trouvons six mentions d'Albert Laberge entre 1901 et 1907 : Ibid., les entrées <strong>du</strong> 10 décembre<br />

1901, p. 338 ; 31 janvier 1902, p. 343 ; 14 février 1902, p. 345 ; 1 juin 1903, p. 401 ; 29 mars 1906, p.<br />

501 ; 30 mars 1907, p. 525.<br />

270 Ibid. , les entrées <strong>du</strong> : 27 février 190 l, p. 306 ; 12 mars 1902, p. 348.

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