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6.3.2 Liens avec les autres artistes<br />

401<br />

Dans le chapitre précédent, consacré aux réseaux sociaux de Larose, nous avons<br />

examiné, qualitativement et quantitativement, les relations de ce dernier avec des<br />

artistes montréalais pour quatre années ciblées. Nous avons conclu alors <strong>à</strong> une<br />

convivialité entre artistes qui était avant tout sociale. Nous compléterons l'analyse ici<br />

en considérant de façon globale la sociabilité artistique de Larose. Ainsi, nous pourrons<br />

donner un sens <strong>à</strong> la nature des contacts entre les membres de cette communauté<br />

artistique.<br />

Le journal de Larose permet d'établir que, d'année en année, Larose fréquente ou<br />

correspond par lettre avec plusieurs peintres montréalais connus de l'époque. Il est<br />

intime avec une quinzaine d'artistes, dont les notes biographiques paraissent <strong>à</strong><br />

l'annexe 3 <strong>à</strong> la fin de cette thèse: Henri Beau, Maurice Cullen, A. Côté (probablement<br />

Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté2 81 ), Georges Delfosse, Edmond Dyonnet, Émile Lacas,<br />

Charles Gill, Joseph-Charles Franchère, Eugène L'Africain, Ulric-Eugène Lamarche,<br />

Joseph Marois, Jobson Paradis, Albert Ratel, Joseph Saint-Charles et Jules-Joseph<br />

Scherrer.<br />

28 1 Comme mentionné précédemment, dans son journal, Larose inscrit seulement Côté ou A. Côté. En<br />

jugeant <strong>du</strong> contexte et en sachant que Suzor-Coté avait ajouté des éléments <strong>à</strong> son nom, qui était <strong>à</strong><br />

l'origine Aurèle Côté, nous supposons que le A. Côté dans le journal de Larose est Suzor-Coté. C'est<br />

vers 1892-1893 <strong>à</strong> Paris que ce dernier commence <strong>à</strong> transformer son nom. Laurier Lacroix juge que:<br />

« Ce nom boursoufflé et imposant appartient bien <strong>à</strong> son propriétaire » : Laurier Lacroix, Suzor-Coté,<br />

op. cit., p. 27, 28.

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