19.11.2013 Views

PIANO MUSIC - Abeille Musique

PIANO MUSIC - Abeille Musique

PIANO MUSIC - Abeille Musique

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

that will not return 1, and a piano cadenza, full of imitation<br />

of the cimbalom, leading to the Andante 2—a soulful<br />

theme expounded in arpeggiated chords. There follows<br />

an Allegro variation and another cadenza, leading to a new<br />

theme marked Allegretto 3, given first by the piano and<br />

then joined boisterously by the orchestra. The Andante<br />

theme is recalled in the ensuing cadenza and a new theme<br />

is presented in the slow Andante (really an Adagio) which<br />

follows. One more reminiscence of the Andante theme<br />

leads to a variation on the Allegretto, with the piano playing<br />

in constant demisemiquaver octaves 4. Another short<br />

cadenza introduces a new theme in the horns, but it is<br />

shortlived and we find ourselves very soon in the coda,<br />

which is generated from a faster version of the Andante<br />

theme. All in all, the piece is effective without laying claim<br />

to any special importance, and considering the probable<br />

assistance of Liszt and the certain participation of Tchaikovsky,<br />

it was thought wise not to pass it by.<br />

LESLIE HOWARD © 1998<br />

If you have enjoyed this recording perhaps you would like a catalogue listing the many others available on the Hyperion and Helios labels. If so,<br />

please write to Hyperion Records Ltd, PO Box 25, London SE9 1AX, England, or email us at info@hyperion-records.co.uk, and we will be pleased to<br />

send you one free of charge.<br />

The Hyperion catalogue can also be accessed on the Internet at www.hyperion-records.co.uk<br />

LISZT <strong>Musique</strong> pour piano et orchestre - 2<br />

S<br />

I L’ON TIENT COMPTE de la manière dont les<br />

œuvres d’autres compositeurs ont été Répertoriées,<br />

l’œuvre pour piano et orchestre de Liszt telle que<br />

nous la connaissons comprend quelque quinze pièces.<br />

La première version de Totentanz est si différente de sa<br />

version finale que le total doit en fait être porté à seize<br />

pièces, et même à dix-sept si l’on tient pour certaine<br />

la contribution de Liszt à l’Ungarische Zigeunerweisen<br />

(Konzert im ungarischen Styl). D’autres œuvres de Liszt<br />

pour piano et orchestre ont certainement existé, ou nous<br />

savons du moins qu’il les a interprétées, mais aucune ne<br />

nous est parvenue : deux concertos écrits lorsqu’il était<br />

adolescent ont disparu, et les versions concertante de cinq<br />

de ses grands solos, mentionnées dans sa correspondance<br />

ou par des éditeurs (les fantaisies Clochette, Puritani et<br />

Niobe, ainsi que El Contrabandista et Heroischer Marsch<br />

im ungarischen Styl) n’ont toujours pas, à notre grand<br />

désespoir, été retrouvées. Liszt n’a interprété en public<br />

13<br />

qu’un nombre très restreint des pièces que nous connaissons—tout<br />

juste trois, en fait—et n’en a vu publiées que<br />

très peu de son vivant.<br />

On imagine facilement Liszt adolescent, tout juste<br />

lancé à la conquête du monde musical, sollicité pour la<br />

production d’œuvres de son cru pour piano et orchestre.<br />

On sait qu’il s’exécuta assez rapidement, grâce à de<br />

nombreux témoignages de l’époque qui le décrivent interprétant<br />

ses propres concertos, non identifiés. Mais les<br />

premières pièces concertante à avoir survécu datent des<br />

années 1830, alors que Liszt avait déjà trouvé son style de<br />

la maturité. Il est difficile d’établir de manière irréfutable<br />

une chronologie de ses compositions ; toujours est-il que<br />

vers le milieu des années 1830, Liszt devait avoir esquissé<br />

le concerto connu sous le nom de Malédiction, la fantaisie<br />

Lélio ainsi que, probablement, une version initiale de son<br />

Premier Concerto. Liszt n’interpréta à l’époque qu’une<br />

seule de ces œuvres, qui n’atteint jamais le stade de la

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!