introduction. - Notes du mont Royal

OU LES ENTRETIENS PHILOSOPHIQUES. 119
tement instruit; quand on compose un air, toutes les notes
ne doivent-elles pas concourir à l'ouverture ? en avançant,
ne doit-on pas chercher à produire l'harmonie, la clarté,
la régularité, dans le but de compléter le chant?
v 2-1. 1 ..e résicl 1
l'introduisirent, et quand le résident sortit il leur dit ;
Dise i pies do Philosophe, en quelque nombre que vous
soyez, pourquoi gémissez-vous de ee que votre niai Ire a
perdu sa charge dans le gouverne oient ? I/empire * est
sans lois, sans direction, depuis longtemps; le ciel va
prendre ee i»'rand lion nue pour en faire nu héraut 2 rassemblant
les populations sur son passade, et pour opérer
un e gn 11 i de r e î on nation.
2e. Le Philosophe appelait le chant rie musique nomme
7 ch ao < e o ni j > osé pa r fJmn ) pa r f a i ! e nient î >ea u, e I même
[>a r f a i t e i n e î I t p r< » p r e ai n s p i r e r I a v e r f u, 11 a p p e lait léchant
de musique nommé Vou, fjuerrirr, parfaitement heau,
niais nullement propre à inspirer la ver tri.
20. Le Philosophe dit : Occuper le rang suprême, et
ne pas exercer des bien! ail s envers ceux que l'on gouverne;
pratiquer les rites et usa^v> prescrits sans aucune
sorte de respect, et les cérémonies l'une lires sans douleur
véritaille : voila ce (pie je ne puis me résigner à voir.
1 Littéralement ; tout ce qui est sovs (•> rîcl "ih.inn h in, lv monde .
1 ï»d t">st le sens «]».»rlriï! \v* i.r-u\ HfK rhinoii mou-tn.
littéralement : clochette arec U>wtexte
porte littéraharieiH : /e (v'