introduction. - Notes du mont Royal

OU LES ENTBETIENS PHILOSOPHIQUES. 159
mon fils : la cause n'en vient pas de moi^ mais de mes
disciples.
1 1. h'i-lon demanda comment il fallait senir les esprits
et les avilies. Le Philosophe dit: Quand on nV>i pas eneore
en elat de servir les h oit unes* comment pourrait-on
servir les esprits et les ironies ? — Perinotte/.-nioL ajoutaf-il.
ipie j'ose vous demander ce que c'est que la mort?
[Le Philosophe] dît : Quand ou ne >ait pas encore ce que
c'est que la vie, comment pourrait-on connaître la mort.
12. \lni-h*-u se tenait près du Philosophe, Pair câline
et serein; TSCU-IHH* Pair austère et. hardi; Jmi-ywtu et
Ttrn-kifUïHj y Pair grave et digue. Le Philosophe cii était
satisfait.
En ce qui concerne V'vn ton 7>v«-A/?/, dit-il); îl ne lui
arrivera pas de ruourir cIe s1rS Phinrhv :S